mercredi 16 mai 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens déjà, j’ai encore la pièce de théâtre dans la tête, l’ami sclérosé y a assisté et il a trouvé que je suis bon comédien. J’ai fait de mon mieux comme ce soir en vous écrivant. J’ai sommeil, j’attends un peu avant de me recoucher je vais m’éveiller. J’espère qu’il y auras du courrier encore aujourd’hui… J’entends un moteur tourné dehors, gaspillage! Hier je vous ai écris un texte plus politique, parlez-en avec vos amis. Je me fait un peu vieux pour ces combats, bien que je vais essayer de le mener à la mesure de mes moyens… La rue est redevenue silencieuse, le bruit de moteur a cessé. Je continus avec mon senti. Je crois que les gens ont aimé mon personnage de Fabiola… J’ai commencé la lecture de mon recueil Spirou ça aussi ça me fait du bien par la liberté et l’histoire du magazine. J’ai recommencé à m’intéresser à la bédé parce que je veux pas me prendre la tête. Il est vingt-trois heure, je ne dors pas… Je crois pas qu’écrire aux journaux serait efficace on nous publierait pas, y’a longtemps que j’ai cessé de lire les journaux papier. Je vais voir ce que je peux faire avec La Presse + je pense qu’ils en ont rien à cirer. L’actualité est tellement dense… Je vais m’en remettre à la mesure de gravités de mon lecteur de Deux-Montagnes, c’est pas très grave mais j’aimerais bien que des collègues soient rémunérés pour le partage de leur expérience… Semble qu’on pourrais nous dédommager dans une recherche qui confirmerait hors de tout doute que le dédommagement des patients partenaire contribue au rétablissement, pour le dire simplement. Tout ça remet en cause ma participation au groupe reprendre pouvoir. Je vais laisser passer l’été et voir ce que je ferai cet automne. La fenêtre est ouverte, je l’ai déjà écrit le bruit c’est de la vie. J’essaye de vous dire comment je me sent, je veux pas faire la guerre au Ministère de la Santé et des Services Sociaux, ils sont beaucoup plus fort que moi pourtant il y va de mon rétablissement… J’ai peur de décompenser, de rentrer dans une psychose douloureuse, ce serait contre-productif pourtant c’est comme si il m’envoyait me bercer chez moi. Je pense que je m’étais trouvé une niche, un créneau maintenant on me dit retourne chez toi avec les tickets d’autobus qu’on te donne. Cette expérience ce refus de nous dédommager pourrait être un apprentissage dans le rétablissement. Je sais pas si le Ministère peut se revirer de bord rapidement. Je crois que je serai pas rembourser pour mon voyage à Lille, je veux pas faire mon quêteux. Mais au fond je crois qu’ils me le doivent je faisais du travail de représentation sur le rétablissement. J’ai compris qu’ils avaient l’argent. Voilà je suis un peu accroché à ça, je cherche comment terminer, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore,  à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!! À bientôt!!!
Bernard

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