dimanche 4 mars 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est un dimanche de solitude. J’ai recommencé l’écriture des cahiers. Je croyais que ça me démêlerais mais au contraire ça rajoute à la confusion. L’ami trouve que je suis intelligent parce que je lui ai dit un mot qu’il cherchait. Vous savez que l’intelligence c’est pas tout… Une petite famille, le papa la maman et deux enfants passe sur le trottoir, lentement je deviens conscient de ma folie,  elle est émotive sans danger pour les autres mais avec parfois un désir d’en finir avec moi. J’y vais lentement sans poésie définitive, je veux m’installer dans la durée. Vous voyez peut-être où ça peut me mener. Moi je sais pas, j’écris sans destin, sans destination, sans dessein… J’ai beau vouloir ça mène à rien. J’aimerais avoir les mots qu’il faut, les mots d’espoir… Tout à coup la foi s’impose et on me ridiculise pourtant l’esprit est nécessaire, indispensable je dirais… Je le dis pour rester présent dans ma quête. Je reviens avec mon manque de confiance, ma paranoïa, parfois j’oublie de prier pour alléger ça. Non! Je suis pas un gourou, je suis seul et n’embarque personne dans mes histoires. Voilà c’est là que la poésie me quitte avec des mots de marins des expressions nautiques. En fait c’est ce mot embarquer, que je ne peux faire puisque je n’ai pas de vaisseau. Je répète je suis seul dans cette mer de mots. Ce vocabulaire c’est mon barda que je traine ici-bas. Je me dis que j’y arrive mais le doute est toujours là. Parfois je pense à ceux qui font le mal dans des lieux à vocation spirituelle, je n’y vais plus, je n’y vais pas… Donner moi un peu de bonté, je vous la rendrai pourquoi-pas?  Je tente d’écrire avec la foi, je me répète comme souvent. Je dois faire honneur aux mots, pesés toutes leurs beauté et savoir les utilisés.  Je sais pas, tout simplement, c’est remplis de fautes et d’erreurs pourtant j’y vais toujours et tout le temps pardonnez le pléonasme. Vous voyez je me perd, j’avance parfois pour mieux sauter et me péter la gueule avec de mauvais mots. Rien de nouveau, juste du doute sans héros. Je sais pas pourquoi parfois quand j’écris je pense à mon bôf, peut-être parce qu’il m’inspire. Pourtant il est loin d’être curé. Je suis entêté pourtant j’ai rien à prouver. Y’a un personnage de bandes dessinées qui comme moi se réjouissais d’avoir quelques centaines de pages consultées, c’est pas grand-chose… J’ai pris un break pour regarder la fin d’une émission sur les avions, la British Broadcasting Corporation c’est toujours intéressant. Une disgression voilà ce que je vous écris en ce moment. C’est moins grave quand c’est pour terminer. Je souhaite un bon voyage à la super-maman de Cantley elle rentre chez elle. Je termine là-dessus, moi je pars pas, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! On en rajoute un peu c’est pas fort, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!! Bye!!!
Bernard

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