mardi 27 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cauchemar, j’étais dans l’atelier, je brisais les angles des pièces, trop aigu et coupant. Discutais avec le mécanicien de machine fixe pendait que le contremaitre passait, j’en avait peur, je cessais ma jasette un gars passait avec une job que j’aurais bien aimé faire avec la perceuse. C’était y’a longtemps tout ça, je ne suis plus là… Je pense à ce voyage, j’ai hâte d’avoir la confirmation… C’est difficile de vous écrire ce matin, je « travaille » mon senti, Lille je crois que ça vas être à la dernière minute, on disait que ça se ferait dans l’urgence, elle a changé d’endroit pour moi l’urgence. On me dis de pas m’en faire, c’est difficile, j’aimerais bien savoir quand je vais partir. J’attends, je veux pas payer de ma poche. Ce matin j’ai dormis ça m’ennuis de pas savoir si et quand je vais partir… La pression elle est là pour moi aussi. Je sais pas trop sous quel angle prendre ça cette confirmation de départ qui n’arrive pas. Douché et rasé voilà pour ce matin un doux parfum… Si c’est trop tard je peux toujours refuser de partir, la Société Nationale des Chemins de fer annonce une grève pour la mi-mars çe seras pas simple, je vais peut-être prendre l’avion de Paris à Lille. Je suis anxieux… Lavé la vaisselle, si il vous plait pleurez pas trop, j’ai souvent de la difficulté mais je m’en tire. Deux téléphones ce matin, un de l’agent de programmation qui me dis de pas m’en faire et l’autre de l’ami chargé de projet pour réviser la phrase qui me présente aux bibliothèques vivantes. Le téléphone sonne, y’a personne sur la ligne, j’aime pas ça pour moi c’est anxiogène. C’était le numéro du chargé de projet. J’ai de la difficulté ce matin, l’anxiété est là je pense au départ. Je crois qu’avec tout ça je vais me ramasser en prison. Mon lecteur de Deux-Montagnes dis que je fais rien de grave… Pourtant je crois pas être un crotté… Je sais pas où est l’ennemi, celui qui m’en veux, ça fait des dizaines d’années que je vie avec cette anxiété c’est peut-être un résidu de la schizophrénie. Voilà où j’en suis avec les interdits… Bein oui! Je me fait dédommager pour mes activités, c’est pas une fortune ça me permet de mieux manger. J’ai mis la télé, l’émission judiciaire, les publicités me tuent. Je regarde ça je me sent mal, tous ces criminels… J’écoute ce que mon senti me dis, c’est rare que j’écris le matin. Demain je vais m’acheter un cahier, je retourne au papier. Ce matin bien qu’on m’ais dis de pas le faire je m’en fait. Elle est très laide cette phrase… Ça se promène dans ma tête, c’est-ce que je vous écris. Je crois que ce seras tout ce matin. Je vais terminer là-dessus en vous remerciant de m’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, j’aurai écris à toute les heures. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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