mercredi 31 janvier 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je me suis fait un mijoté de lentilles. Je suis pas mal en cuisine c’est bon! Je devrais avoir des nouvelles pour le voyage à Lille la semaine prochaine… Mercredi je vais vous écrire comme toujours sur mon senti. Les lecteurs semblent avoir apprécié ma photo de Bell Cause pour la cause. Demain c’est la paye, toujours étonné de la pression du monde du travail sur les prestataires, souvent ils sont pas à rien faire très actif mais ils veulent absolument avoir une job, moi j’ai lancé la serviette, c’est vrai que je suis plus jeune mais je m’occupe avec différents groupes différents comités, sans parler de cette écriture… Le téléphone viens de sonner, un appel qui proviens d’un numéro où il n’y a pas de service… D’habitude je commence à vous écrire quand l’angoisse se présente… Je crois que ces temps ci y’a beaucoup de travail mais pas nécessairement celui qui va nous aller, dans lequel on va s’épanouir… Hier on a un peu discuté de suicide, comment on a tous un proche qui est passé à l’acte… J’ai appris qu’au Japon c’était intégré dans les mœurs. Pourtant ceux qui restent on toujours mal… Je reviens à la cuisine, comment j’aime ça, des recettes de mon crû c’est rarement mauvais… Je pense au grand-chef Bocuse qui est décédé… Je connais pas cette cuisine là c’est pas dans mes moyens financiers. Comment on dis? De la cuisine paillarde? Ça pas de bon sens ma cuisine est pas lubrique… Vous voyez je manque de mots pour être gastronome. Pourtant quand on se dis écrivain faut avoir une bonne culture générale… Le ciel s’est couvert, il va peut-être neigé… J’entends ronronner les pots d’échappements des pick-up qui passent. Je suis absurde, hier un ami disait de mon écriture qu’elle pouvait être surréaliste, je sais pas, j’ai pas de sens… Parfois je crois qu’on veut me faire la leçon, c’est toujours la même chose, je devrais retourner à la moppe, à la serpillière… et surtout fermer ma gueule en beurrant mes toasts… Ç’est un peu ça aussi la schizophrénie, on cherche, on cherche, jamais satisfait toujours anxieux sans parler des hallucinations… T’attend la nuit pour travailler à d’humble travaux et tu déteste ça, la tête qui essais de raisonner avec le manche de la moppe. Je sais, je sais y’a pas de sots métiers mais y’en a des intolérables. Je vous parle de ça je regrette pas d’avoir laissé ça là la job de moppologue… Je suis pas fait pour ça… et tout à coup je pense au suicide, je fais pas de menaces, je vie comme je peux, je sais qu’on dis de moi que je suis devenus un légume. Je suis presque rendus à la finale, n’oubliez pas d’aller cliquer sur On cause pour la cause de Bell https://cause.bell.ca/fr/  Voilà! Pendant ce temps-là les voitures klaxonnent. Je crois que pour aujourd’hui j’ai tout dis, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

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