lundi 18 décembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dans une semaine c’est Noël. Je suis en congé de mes réunions. J’ai hâte de savoir si je vais me rendre à Lille ce printemps. Je me croise les doigts. Lundi et comme toujours je suis au prise avec mon senti après la liberté j’ai envie de vous écrire sur la fraternité comment on essaye d’être frère devant les avaries de la vie, ce partage constant du vécu fraternel. La fratrie puisqu’il faut bien la nommer, nous est chères. Des frères de naissance qui vont toujours être là à ceux qu’on trouve sur le parcours de sa vie, ceux avec qui on a surmonté les mêmes épreuves qui ont connus les mêmes souffrances… Les frères parfois c’est large ont y inclus les amis qui échangent avec nous leurs points communs de là la communauté, frères ça a un côté presque religieux, oui! Frères devant Dieu qu’on prie au même temps aux mêmes heures, c’est aussi le plaisir de se retrouver, de se pardonner, de s’entraider. Y’a aussi ces choses qu’on a partagé enfant, on mangeais à la même table. Jouais aux même jeux, ça reste toujours des frères, ont vois toujours dans le temps comment on se rétablis toujours là pendant toute la vie, mes frères ils m’ont vue dans mon meilleur comme dans mon pire, des frères avec qui on s’est battus comme dans un mauvais jeu et avec qui j’ai arrêté la bataille parce que je les aimait trop. La fraternité c’est aussi faire corps devant un ennemi commun, une épreuve semblable. C’est aussi ceux à qui on souhaite du bonheur. Bruce Springsteen chante « nothing is better then blood on blood »  c’est rien de méchant juste signaler qu’on est du même sang. Parfois je voudrais me reprendre pour ce que j’ai manqué mais le temps se fait court, je vais apprécier au présent. Dans le temps j’étais dans un monde qui dénigrais les frères, eux sont partis mais les frères sont toujours là malgré tout… Je voudrais leurs faire une belle phrase quelques choses de bien, mais gardons ça simple. Encore j’espère qu’ils vont me pardonner pour ce texte mes frères… Y’a ma sœur qui doit se demander où elle est là-dedans, je reviendrai avec quelques choses juste pour elle. C’est difficile d’écrire sur la fratrie sans blesser personne surtout dans le temps des fêtes où mon senti est très émotif… Je me souviens j’étais assis à gauche du patriarche, on mangeais tous en même temps le dimanche… Je pense à mon lecteur de la Rolls-Royce j’espère qu’il m’en veut pas d’écrire comme ça, mais oui parfois des frères ça se chicane, ça se pardonne aussi. Vous trouvez peut-être ça niais ce que j’écris mais quand même je vous apprécie, tout ce que je veux c’est vous faire plaisir. J’espère que vous êtes tous heureux, que la vie est pas trop chienne, hé oui ça changeras pas on est frères de sang. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
 

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