mardi 21 novembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai la bouche sèche et une saveur d’ail. La neige est toute fondue. J’ai une petite migraine. J’ai rêvé que j’étais assis sur la banquette arrière d’une vieille Volkswagen d’un copain on allait je ne sais où. Je crois qu’on parlait d’argent… Je vous suggère d’écouter le magnifique texte de David Goudreault, « J’en appelle à la poésie » à onze minutes trente quatre http://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/site/segments/entrevue/47460/sophie-bienvenu-christian-guay-poliquin-david-goudreault-livres-litterature-salon-livre  c’est superbe! Je rêve d’écrire un texte pareil. En attendant je me rabat sur mon senti la nuit, je sais pas ce que je dis j’évite l’ennui pourquoi pour qui c’est si fa sol et je cherche mon bol je broie mon sol en attendant Paul voilà voilà lot of laugh lol. Je te fais do dans un pic-nic musical et je calle comme un sale comme une proie sidérale j’essaye de dire mon mal de chacal ma rétention anale. J’ai peur du pal de la douleur impériale. Voilà c’est pas grand-chose juste une tentative je suis pas vraiment un slammeur… Hier j’ai parlé avec un ami qui pense à abandonner le groupe d’entraide, la routine s’est installé et pendant ce temps-là arrive une personne très perturbé qui bouscule notre rétablissement on a beau lui dire de consulter elle ne veut rien entendre. Je cherche une solution… Maintenant je vais essayer d’y aller comme toujours avec mon senti, j’aime bien vous écrire la nuit en regardant dehors la pluie, c’est de la rime de souris pourtant je sourie et je rie j’essais de faire le tri et le trait je pense au lait le soir distrait… Pour rester dans ce genre de culture slam et hip-hop je vais vous illustrer ça avec l’art qu’on voie sur les murs j’ose pas appeler ça des graffitis… Je pense à ma lectrice secrétaire retraité du Cégep de l’Outaouais, ça fait longtemps qu’on s’est vue, j’espère qu’elle va passer à Montréal un jour. Pour l’écriture ce que mon senti me dis c’est que je suis trop vieux, pourtant j’ai commencé jeune j’ai des cartons remplis de papier. Y’en a que j’avais donné à mon « bôf » il y a longtemps, il me les a retourné et je les ai jamais relu j’ai pas le courage, peut-être un jour… Là je pense au proprio du Bistro, il préférais que je me rende au pool room plutôt que de niaiser dans son bistro. Comment dire la façon qu’il avait de me parler, c’était dur, je fittais pas avec sa clientèle… C’est un des beaux quartiers. Je vous aurai écris encore cette nuit… Contrairement à ce que je croyais, hier tout s’est bien passé. Cette semaine tout est tranquille, j’aimerais bien recevoir le recueil de bandes dessinées en attendant je vais essayer de m’avancer dans la lecture d’un roman. Je termine sans cravate sans savate plutôt patate et je me gratte me gratte, comme un chien et sa patte ça me dilate la ratte. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arivederci!!! Ciao!!!
Bernard

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