lundi 20 novembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis, me suis calmé dehors y’a pas de neige. C’est quand-même l’hiver. Je me suis levé tôt, je suis trop anxieux pour rester couché longtemps. La semaine passée j’ai parlé avec l’ancienne patronne elle m’a parlé de son excursion de plongée sous-marine en Finlande je crois, c’est assez extraordinaire ce que cette femme là fait. Cette nuit j’essaye de trouver une piste pour vous écrire, y’a une femme qui donne des cours d’écriture qui m’envoie des courriels pour que je m’y inscrive. Je crois pas en avoir besoin sinon ce serait pour la forme et je crois que de ce côté-là je m’en tire assez bien… Si je me trompe dites le moi. Je discuterai pas ici des modalités de l’écriture… Je pense au chauffeur d’autobus que je vais devoir affronter ce matin, je dirai pas un mot, je soupçonne une bonne femme de raconter mon histoire, comment écrire? Je suis pas guéris c’est pour ça que j’écris, c’est toujours une tentative d’écrire vrai et fort. Y’a toujours ces malheureux qui m’envient. Heureusement ils sont pas dans ma peau à vivre la schizophrénie, je crois qu’ils ne feraient pas long-feu. Pendant que j’y pense je remercie tout le monde pour la lecture… Ce matin je vais illustrer ça avec une vue du Sacré-Cœur à Montmartre. Voilà les escalier de la butte https://www.youtube.com/watch?v=yQGnnivKj2I . Je suis passé là tôt le matin avec les couche-tard qui finissaient la nuit… Je partirais encore, me souviens d’une époque où les couples partaient en voyage de noces. Si j’avais attendus ça je serais jamais partis… J’ai écouté la chanson je la trouve très émouvante. Je sais pas pourquoi j’ai si peur… Parfois je suis romantique surtout quand je pense à Paris… Je vais revenir à mon senti, cette espèce d’analyse que je vous offre… C’est demandant d’écrire son cri intérieur, sa psychose ignorante qui s’en fait avec des riens. Pourtant, voilà l’essentiel de ce que j’écris… Me souviens de cette médication, le Risperdal, j’en suis presque mort, j’ai vite arrêté tellement ça blessait mon âme. Je sais pas comment les psychiatres voient ça les nombreux décédés à leurs comptes. Ça aussi j’en ai peur… Je pense qu’on veut pas que j’arrête la médication je pourrais en mourir. La nuit passe rapidement il est bientôt cinq heure et je meurs toujours un peu plus… Tout ça faut pas être pressé de s’y rendre. Cette nuit j’ai le vertige, je médite un peu sur mon sort… Je pourrai pas dire que j’aurais tant aimé être écrivain, c’est ce que je fais… http://www.art-cranien.xyz/  Voilà un autre site auquel j’ai collaboré. À force de le chercher ce site je me suis coupé de mon senti. Comme toujours c’est la chute finale qui est la plus difficile. Quelques mots encore, la nuit à filé comme jamais. Aujourd’hui il fait froid d’habitude on commence avec ça. Lentement je termine en vous remerciant encore d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots  pour dire que j’aime ça!!! À la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard
 

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