samedi 18 novembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de me réveiller paniqué. Je faisais un cauchemar. Je l’ai pas noté ça semblait assez horrible. Je me suis levé et je vous écris, c’est vraiment la nuit. J’ai plus sommeil. Je pense aux voisins d’en bas des chinois, l’homme est décédé et sa femme on ne la vois plus, je crois qu’elle est repartie en Chine, la dernière fois qu’elle y est allé à son retour elle était toute contente de me le dire on avait réussis à communiquer avec peu de mots. Cette nuit y’a pas d’automobiles qui circulent, c’est silencieux… J’aime beaucoup vos commentaires et je vous en remercie. C’est samedi, plus tard je vais lire La Presse+ le cahier voyage surtout… Je voulais vous parler de mon compte à la caisse mais c’est pas assez poétique. J’ai un petit souvenir de la poésie violente de Josée Yvon, une grande poète décédée trop jeune. Jeudi passé à la présentation, le prof m’a offert un jus de mangue il était très bon. C’est vendredi soir dans les bars les jeunes hommes se cherchent une proie féminine avant que ça ferme, sachant que la majorité des clients sont des hommes ça deviens difficile. Je comprends pas notre façon de danser « free style » je crois que c’est parce que on aime pas les danses sociales. Je me souviens, je faisais la tranche de bacon et je me roulais par terre sur la piste de danse. On me laissait faire, je crois que j’aurais pu me déshabiller, me mettre nu, ils auraient rien dis occupé qu’ils étaient à leurs « cruise ». Faut dire que c’était pas des églises, juste des boîtes de nuit où on tolérait beaucoup de chose, à l’époque on pouvait encore fumer quand on rentrait chez soi pour se coucher nos vêtements puaient. Je pense encore à ma présentation de jeudi si on avait pas voulu que je parle le professeur me l’aurait dit. J’essais d’imaginer la vie d’une étudiante entre travail et étude, certaines sont aidées par leurs parents c’est tant mieux… Je suis accoté sur mon pupitre devant mon écran et je cherche quoi vous écrire, cette nuit je vous ai pas mentionné mon senti, hier j’étais assis devant la télé et j’avais la larme à l’œil je sais pas pourquoi, ça fait longtemps que j’ai pleuré. La nuit dans mon édifice c’est tranquille, les gens qui déménagent réalisent pas ce qu’ils perdent. Jeudi le prof comme il l’a dit semblait touché par cette terrible maladie, semble qu’autour de lui y’a des gens qui souffrent. Terrible oui! On en meurt et le ministère de la santé semble pas faire grand-chose.  On veut pas entendre les cris, le malaise de ceux qui souffrent, on croit qu’ils sont inconséquents. On en ai encore au botte toi le cul tu va t’en sortir mais c’est pas de ça du tout qu’il s’agit. Je termine avant de faire une prière en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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