vendredi 6 octobre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’arrive d’un échange sur mon vécu à l’institut, c’était de nouveau employés, ils avaient pas de question. J’ai marché pas mal, une bonne heure… Je cherche dans mon senti d’aujourd’hui ce que je pourrais vous écrire. Dans quelques nuits mes lecteurs de l’Outaouais partent pour l’Espagne ça auras été un automne Espagnol, comme vous savez j’y suis allé et l’ami frère de mon beauf aussi… Je leurs souhaite bon voyage. J’ai reçu de belles photos de la noce au mois d’août, la photographe a du talent… Mardi prochain je donne deux formations. J’ai un peu peur de pas être dédommagé en tout cas! Je verrai! Je pense à la puéricultrice-photographe de Terrebonne, je suis heureux d’avoir ses photos je la remercie. Moi je vous donne une photo d’une église sur une petite place à Madrid c’est là que j’ai terminé mon voyage, j’ai prié un peu. Cet après-midi je me dénigre pas, j’ai fait ce que j’avais à faire. Me suis ouvert une SANPELLEGRINO à l’orange, j’en avais besoin. Je suis plus calme, moins paranoïaque, je fais chauffé mon reste de bouilli, c’est le quotidien le plus banal, la poésie se fait attendre avec ses grands maux et ses grands remèdes… L’automne comme ça je pense toujours au film la bête lumineuse de Pierre Perrault, un grand film selon moi avec tous les artifices des chasseurs québécois. Je suis jamais allé à la chasse, j’aime pas les armes à feu… Le film me dis de quoi les chasseurs sont capables… Y’a aussi The Deer Hunter un film sur les atrocités de la guerre et le retour en Pennsylvanie, en Amérique… J’ai souvenir de la première fois où je suis allé dans le bois au temps de la chasse, j’entendais les coups de feu, j’avais peur. C’est vous dire comment je suis urbain. On voie plus beaucoup de bête sur le capot des voitures. Voilà j’ai terminé mon bouilli, ça fait du bien de manger, dehors les gens rentrent du travail en écoutant de la musique jamaïcaine… J’ai chaud pourtant dehors c’est frais, j’ai enlevé mon chandail, je suis torse nu c’est pas indécent je suis seul. Je vais vous dire la vérité, je suis à bout pourtant j’écris pareil c’est dans ce temps-là qu’on trouve les plus belles choses. J’aime ça, j’essaye de faire grandir mon âme à travers ça. Cette semaine dans mes sorties j’ai vu qu’une voiture de police et elle était pas après moi. C’est un symptôme de la paranoïa. Je vous en parle souvent mais que voulez-vous j’ai que ça. Je suis orgueilleux dire que j’écris des belles choses, c’est le contraire de me dénigrer… Je vais m’ennuyer de ma lectrice en voyage. J’en ai assez pour aujourd’hui l’écrivain à plus grand-chose à écrire, je vais quand même essayer de terminer avec des bons mots. Le climatiseur viens de s’arrêter automatiquement, vous allez me dire on s’en crisse!!! Je vous crois. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

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