jeudi 21 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai dormis un peu, refait mon lit, je suis bien réveillé. Ai mangé un yogourt des balkans. Aujourd’hui c’est vendredi, suis heureux que deux lectrices m’ais signalé qu’elles avaient lu… Il est minuit quinze je suis plus réveillé que je l’étais dans l’avion. À l’altitude où il était les hublots étaient fermés pour créer une pénombre, y’a des gens qui dormaient. La prochaine fois je vais prendre l’option plus même si je bois pas d’alcool. Je mangerai tout de même pas le repas dispendieux créer par le chef Daniel Vézina à moins que pour faire changement je prenne une autre compagnie aérienne. Y’a ma lectrice de deux montagnes que je félicite, si vous voulez en savoir plus vous lui demanderez… Aujourd’hui je vous illustre ça avec ces chers avions, je racontais à mon lecteur de Deux-Montagnes que dans les réceptions je ne regardais pas qui buvais ou ne buvait pas d’alcool… Souvenir de cette époque où j’étais « roadie ». Je transportais avec mes collègues les caisses d’équipements de différents bands de musique souvent on devais monter ça au deuxième, on faisait ça rapidement ces nuits là je restais réveillé. Je me souviens aussi du grand rideau de scène noir… Je viens de manger maintenant j’ai sommeil, encore deux heures pour aller s’abrutir dans les bars « à la mode ». J’ai vu que la grenouille étais maintenant coin Saint-Laurent et Sherbrooke, le dernier cri pour les m’a tu vu aviné. Je me souviens j’allais entendre James McDonald dans ce coin-là. Je pense à l’ami recherchiste à la radio, j’ai lu ses textes je crois qu’il essaye trop d’écrire à la mode Rolling Stone où Best où  Rock’n’Folk… Je la connais la tonalité de ces revues je les ai lu longtemps, c’était pas toujours la classe. Le propre de ces magazines c’est d’être à la mode quand ce cycle là n’y est plus elles disparaissent, y’a que Rolling Stone qui résiste avec son huile d’olives. Y’avait un copain qui me parlais de la payola, cette façon qu’avait les gérants d’artistes de payer les disc-jockeys pour faire jouer leurs clients à la radio et monter de faux hits parade. Je crois que c’est plus comme ça l’industrie de la musique est devenue trop grosse, Angelil est plus là pour nous dire comment il a fait. Semble que hors des grandes compagnies y’a pas beaucoup d’argent à faire… Les bluesmen vont continuer à faire du taxi et des gigs la fin de semaine, l’argent va se faire sur les ventes de drink et de bières. J’ai souvent tendance à voir la présence du monde interlope là-dedans. Parfois y’avait une « légende » qui passait à Montréal, souvent un vieux bluesmen noir qui jouais pour ses drinks, le genre de gars qui traine pas beaucoup d’équipement et qui est pas payant. Chaque band avait son club, sa salle on y voyait souvent les mêmes clients. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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