mercredi 27 septembre 2017

Au présent

Je continue à écrire malgré tout, parfois je pleure à l’écoute d’une chanson, les mots sont un peu comme ma prison. Je sais ça tourne pas rond, pour une fois je voudrais en écrire un bon de ceux qui ne tourne pas rond. Non! Non! Non! Il seras long, j’essais de lui trouver un ton pour qu’a sa lecture vous faisiez un bond. J’aimerais me faire un nom me diriger avec mes ailerons, c’est pas fort j’écris au son c’est quand même lourd comme du plomb, voyons! Voyons! Voyons! Je suis sur les talons de l’étalon surréaliste de bon ton je cherche le fond vous demande la compréhension de mes araignées dans le plafond. J’ai pas d’ultimatum pas de vision, juste une leçon une pamoison pas de sinon, un texte comme la vermine dans le tronc au bas de l’arbre les étrons. Je suis prompt! Je suis prompt! Je suis prompt! Je traverserai pas le pont! Je rêve plus de voitures mais d’avions je sortirai pas de mes gonds c’est juste des maillons rien qui mène pas à la prison mais peut-être au salon. Je parle pas de vallée mais de vallon là où se cache le baron, cou donc! Cou donc! Cou donc! Je suis pas une exception, de ceux qui poussent le crayon, de la « poésie » de chauffeur de camion. Ce serait mieux écris par un cochon dans un atelier de sonorisation. Voilà c’est un citron où peut être du limon. J’essais de faire illusion où  hallucination, c’est un texte de con comme si je jouais au ballon, donnons! Donnons! Donnons! On embarque pour Pluton… Vous demandez le baillon, pour vous je dois me taire sinon… Je suis pas Platon,  j’ai pas d’électron, la tentation serait d’arrêter là avant la conclusion sans détermination. C’est un texte niais comme un melon, un potiron. Je vous dis valsons, valsons avant de faire le planton. Ça fait pas mal je vous demande pardon, je me colle à vous comme un chardon comme une épave… Dans la salade le lardon après on se lave au savon et tout à coup le mot fatal union qui mérite une réunion… Mais comment, comment survivras la passion? J’espère qu’elle éloigneras la malédiction, vous allez trouver que j’ai du front… Je pourrais vous défiler des noms de rue comme Masson et De Bullion mais non! J’exploite le filon, j’y vais avec passion, disparu les charrons, les chevaux, les quarterons… Les millions, les billions c’est pas pour moi, tout ça c’est une déclinaison digne des plus mauvais chaudrons, écrivaillons. J’y vais pour la finition, la terminaison quelques noms encore et la répétition… Je vais manger des bonbons sans nommer l’épicerie de la cave au plafond. Voilà ce seras ça j’ai plus de munition, j’aurai fait des sillons en essayant de devenir un parangon, tout est affaire de détermination, je suis ici un siphon pas un tromblons. J’espère que vous ne direz pas non à cette lecture y’a pas de sommation. Merci pour l’inclusion!!! Ciao!!!
Bernard

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