mardi 19 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ça sent bon cette nuit. Le goulag occidental est endormi. Je continus mon écriture, hier j’ai rédigé le compte rendu de la réunion de notre groupe. C’est autre chose c’est pas écris sur le même ton sur le même thème… Vous voulez certainement savoir comment je me sent cette nuit, Muy bien dirais l’espagnol… Je pense aux magnifiques façades des rues de Barcelone et Madrid, j’ai pas vue le quartier des affaires, les grattes-ciel ça m’intéressais pas. J’ai préféré les vieux quartiers. Je suis loin de mon senti, y’a longtemps déjà que j’ai pleuré à gros sanglots, la dernière fois j’ai téléphoné au neuf un un on m’a envoyé les policiers et l’ambulance pour me transporter à l’hôpital… J’étais bouleversé, j’ai vu ma vie et où j’étais rendu rien de bien édifiant, ça m’a pris du temps mais j’ai finis par accepter… Voilà! Je me suis parfumé avec le Burberry Brit Rhytm, j’aime beaucoup ce parfum… On m’a demandé une fois son nom, j’ai pas su quoi répondre sur l’instant, j’ai finis par trouver mais la dame étais partie. Je crois que je me répète c’est le propre du délire, un délire réfléchis qui peux s’apparenter au senti… Je crois avoir longtemps eu peur de la ville pourtant je serais incapable de survivre ailleurs… J’attends du courrier, j’ai acheté en ligne deux recueil du journal Spirou, la poste devrais me les livrer. Je les lis et après je les envois aux petits gars, je crois que ça fait des heureux… J’y vais lentement sans trop d’histoire, pense à Radio-Canada où j’ai donné une entrevue http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1007226/vivre-avec-la-schizophrenie-et-combattre-les-prejuges  ça commence à faire longtemps, je crois que je suis différent… Dans mon enfance les types comme moi on appelait ça des maniaques, sans trop savoir ce que ça voulait dire. Je suis incapable de vous donner d’autre nouveau qu’écris. Je sais pas trop ce que je dis… Je ne vis pas dans un rêve, c’est la dure réalité mais quand même mieux qu’intoxiqué… Les neurones brûlées c’est pas de l’intelligence. Je pense au stigmate du malade mental, de l’intoxiqué, je préfère de loin rester éveillé… Souvenir d’une visite chez le gouverneur général, j’ai été accueillis par madame son excellence qui m’a fait un gros hug et qui a dis qu’on pouvait les considérer comme des vrais amis je crois que je vous l’ai déjà écris, je sors de cette nuit. Je crois que le facteur sait un peu tout ce qui se passe dans notre vie avec le courrier reçu. Quand j’aurai terminé d’écrire ce blog je vais prendre mon petit déjeuner. Cette nuit le goulag occidental est tranquille… Je veux pas trop me distinguer de la population. J’essais, et je crois que ce soir c’est la première fois que je l’écris, essais, oui! Une tentative de rédaction parfois j’écris comme un enfant sans trop profondeur. Je termine presque ce blog, encore quelques mots. Je devrais toujours commencer par la fin. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire