vendredi 4 août 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cette nuit je songe à mes ancien emplois à comment j’étais nul. Les vacances se terminent demain, on rentre à la maison pour ceux qui sont partis. Pas besoin de dire qu’on va boire un coup pour terminer ça. Ça va être le temps de récolter le potager, pour ceux qui ont pas été touché par la grêle, et de mitonner une sauce à spaghetti maison des familles. Je sens déjà le parfum d’ici. Les nuits passent lentement, le temps devrait se rafraichir. Je retourne à mon senti sans trop faire l’idiot. Souvenir quand j’avais une dizaine d’année et que l’odeur du Rambler de mon père me rendait malade. Hier j’ai regardé un documentaire sur les grands criminels des années soixante-dix, j’ai eu peur, me suis rappelé cette époque où je faisais de l’auto-stop comment en une semaine j’avais visité Charlevoix le Saguenay et le lac Saint-Jean, j’étais en camping une toute petite tente portable. Je pense que l’auto-stop c’est plus à la mode les voitures maintenant sont tellement disponible. Je suis tellement étonné qu’il me soit pas arrivé grand-chose, pense à ce bon samaritain qui a eu peur quand je lui ai parlé de mes amis motards, maintenant je comprends. Ce que je vous écris ça pourrait s’intituler, toda la noche, c’est samedi si tout va bien la semaine prochaine je vais à la noce pour ensuite me préparer pour mon voyage en Espagne. J’ai en mémoire ce voyage sur la rive-sud du fleuve que j’avais fait avec l’amie, on avait pris la petite route et visité les différentes villes les différents villages, c’était sympathique on s’était rendu jusqu’à Saint-André-de-Kamouraska… La semaine prochaine je devrais rencontrer toute la famille, j’espère qu’il va faire beau. Lentement je me réveille, j’aimais bien marcher dans les sentiers de la SÉBKA. Vraiment je radote, pense à ces kiosques à patates frites le long de la route, à l’éternel Galarneau de Godbout.  Je viens de manger un yogourt, il pleut, me souviens aussi de ces psychoses comment c’était long comment c’était dur, ça n’en finissait pas j’étais brûlé, la psychose je crois qu’en vivre plus qu’une fait de nous des schizophrènes, c’est une partie qui constitue la maladie mentale, mais c’est quand même possible de se rétablir, voilà! Je me répète… Moi je veux donner l’exemple de quelqu’un d’utile même avec la maladie, quelqu’un qui évolue, qui se rétablis vers la pleine citoyenneté. J’ai hâte de partir essayer de vous écrire autre chose, je pense pas que je vais prendre la tonalité espagnole. J’ai aussi hâte de tous vous voir, je crois que ce que j’écris c’est d’une dynamique familiale. Je sais que ma fratrie me lis. Je vais essayer de terminer en écrivant sans trop réfléchir, Picasso, Picasso, je vais bientôt voir une partie de son œuvre, bientôt je vais commencer la lecture d’un roman qui se passe à Barcelone, je vais lire dans l’avion… Voilà pour cette nuit je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

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