jeudi 27 juillet 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis pas très inspiré, viens de finir le souper. Je crois que l’intervenante aimait pas que je parle du climatiseur, comme si je me vantais d’en avoir un mais mon intention était pas là. Je suis plus un enfant je me revalorise pas avec ces choses-là. Ça fait partis de mon senti pour ce soir. Les policiers contrôlent la circulation sur la rue Frontenac, c’est remarquable les voitures vont beaucoup moins vite… Je sais pas quoi vous écrire, je pense aux feux de forêt en Colombie-Britannique et en France. Je suis pas inspiré à tous les jours, je veux pas me faire mal pour vous donner de la matière. Je pense que les deux semaines de vacances de la construction se terminent bientôt, moi je pars en Espagne dans un peu plus de deux-semaines. Je devrais pas écrire ça je risque de me faire cambrioler mais vous avez pas mon adresse. C’est difficile d’écrire comme ça à tous les jours… Il se passe rien, mais je veux pas que quelque chose de tout croche arrive. C’est la soirée qui commence, je répète que j’ai hâte de partir, aujourd’hui je suis pas sortis. Je pense qu’en Espagne ça va être les vacances, je serai pas seul… J’ai mis la télé sur l’émission à propos des Douanes, j’aime voir les avions. Je suis tous perdus je trouve pas le moyen de vous raconter, mon senti est pas douloureux je suis quand même dans ma tête, c’est monstrueux. Un ami me disait d’aller au bout de mon délire, mais j’y arriverai jamais ça va se terminer quand je serai mort. Je suis content que ça vous plaise ce que j’ai écrit hier… Déjà vendredi demain, hier j’ai posté ma demande de remboursement du transport en commun. Ça roule toujours dans ma tête, j’essais d’écrire pour que ça se calme, quand je m’auto-dénigre pas c’est pas mal. J’y arrive… Vous avez raison, y’a rien de poétique là-dedans c’est juste du délire verbomoteur. Je pense à ceux qui me lisent à comment leur faire plaisir, j’ai plus beaucoup de souvenirs. J’essais de me rappeler des choses positives… Je pense au ton autoritaire du secrétaire du groupe de médecine familiale, c’étais comme si je le dérangeais, mais il m’a bien orienté, je suis allé au bon comptoir. Je me promène entre la télé et le clavier, je cherche j’arrête pas de chercher. J’aimerais écrire quelque chose d’intéressant, une fois passés les lumières contrôlées, les voitures prennent de la vitesse sur le viaduc… Bon j’y vais-je vous écris ça même si les policiers sont devant, ils ont pas l’air d’arrêté beaucoup de monde. Je me répète, je reviens au goulag occidental, l’exil… C’est quand même pas si mal malgré le nom. J’espère encore une fois que je vous en demande pas trop. Je me rend compte que j’ai rien dis dans ce post. Je vais arrêter en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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