vendredi 19 mai 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il se passe pas grand-chose, il fait frais… Pour moi c’est une journée de congé, pas d’activités, j’ai regardés l’environnement des hôtels en Espagne à Barcelone et à Madrid… Je crois que ça va être bien. J’ai hâte d’avoir la confirmation de tout ça. Je pense aux « amis »… Demain je vais m’acheter un cahier de voyage, lentement le ciel se dégage. J’attends un retour d’appel téléphonique, j’ai de la difficulté à lâcher prise. Les gens ont autre chose à faire que de s’occuper de mes problèmes monétaires. J’arrive à rien, y’a des millions de gens qui comme moi font un blog… C’est de l’artisanat pas de l’art, je sais pas ce que l’ami historien de l’art en pense… Elle est finie l’époque où on sortait prendre une bière avec les copains, de toute façon comme je dis toujours c’était l’enfer. Ce que j’écris c’est toujours autour des mêmes thèmes… La matriarche disait qu’elle préférait mourir que de vivre dans la même pièce que son lit, moi, c’est ce que je fais mais j’ai vécu dans une vrai chambre y’a longtemps on partageait la salle de bain, c’était très difficile… Tout à l’heure sur la passerelle un gars racontait être sous probation, je crois qu’il se cherche un logement. Je rédige ça et après je sors le recyclage, y’a trente et quelques années je faisais la collecte du papier recyclables, c’étais pas organisé comme aujourd’hui, on vidait des barils de carton dans des poches de jute qu’on ramenait à l’atelier où on faisait le tri à la main… Je viens d’envoyer le recyclage dans les bacs, y’en a qui prennent ça pour une poubelle c’est dégueulasse. Je sais pas si les recycleurs ont prévus ça dans leurs cueillettes. Je pense à la chanson qui parle du chemin de la dump, la plus grosse dump de Montréal est à Terrebonne, je pense à ça je suis pas rendus à acheter en vrac… Tout à coup j’ai de la peine, parce que j’arrive pas à écrire un texte cohérent, un texte qui dis vraiment quelque chose… Autre chose en tout cas que ces niaiseries, je suis trop vieux pour être éboueurs. J’aimerais beaucoup aller voir décoller les avions mais je crois que l’autobus se rend pas au parc où on a le meilleur point de vue. La bonne femme croyait que je buvais du gros gin, si y’a une boisson qui me rendait fou c’est bien celle-là, le fort j’ai toujours trouvé que ça avait une odeur de parfum… Je ne boirai pas aujourd’hui et j’avoue mon impuissance devant l’alcool, je veux pas savoir ma façon de penser quand je buvais, juste que j’étais plus fou, plus malade qu’à jeun. J’étais idiot j’allais me perdre dans les bas-fonds sans avertir personne faut croire qu’ils étaient pas intéressé à savoir où j’allais. Vous voyez je raconte toujours là même histoire c’est pour ça le voyage. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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