mercredi 31 mai 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je baille, je suis fatigué, suis allé à la librairie pour acheter des livres ils étaient trop cher. On a quand même pu profiter d’un après-midi ensoleillé… Pour l’indemnisation je vais me calmer, c’est eux qui me doivent, j’ai pas de dettes. Ça deviens difficile d’écrire, me suis préparé un café… Je veux pas trop délirer sur mon départ. Mon travail se passe dans les corridors entre le bureau de l’un et le local de l’autre. Stigma, stigmatisation, je racontais à l’ami que je voulais pas me mettre à délirer sur la responsabilité de la société, mon rétablissement c’est à moi que je le dois bien que j’ai pas encore tellement compris ce qu’est la stigmatisation et l’ostracisme. Je crois qu’on me garde à part à côté mais en même temps c’est une position qui me permet d’aider les autres. Juste de leurs dire que malgré tout, tout est possible… La difficulté c’est d’essayer de rentrer dans les modes et les cadres du marché. Je fais pas de la grosse philosophie on parle de marché du travail et c’est celui-là que les gens désirent le plus… Pourtant on travaille pour manger se loger s’habiller et le reste viens de surcroit mais parfois la job c’est un tue monde, on s’épuise à s’en rendre malade ensuite on en prend un autre on passe au prochain. L’expression le dis bien gagner son pain à la sueur de son front. Tout ça pour vous dire qu’à trop vouloir m’intégrer je me suis rendus malade, j’ai fait les mauvais choix… Pour le patriarche le travail ça devait faire mal, la douleur du draveur où du bûcheron on migrait vers la ville pour avoir un travail plus payant et plus facile… Tiens tout à coup je pense à une salle de réunion où le gars fixait les yeux sur moi, je me rappelle avoir fait ça avec une fille je la fixait des yeux, j’étais adolescent je connaissais rien mais je l’aurais pas regarder elle l’aurais demandé. Si jamais elle lit ça et se reconnais je lui fait mes excuses. Ça aussi je vous l’ai déjà écrit vous voyez bien que je délire. Je vous jette ça là comme un trop plein récurrent, un trop plein qui reviens. Non! Non! Cet après-midi je me dénigre pas, j’essaye depuis un moment déjà de me corriger. Je sais pas si je vais y arriver.  Je laisse faire les autre, je suis responsable de mon rétablissement. De ce temps là mes texte sont comme une ronde enfantine, je chante et vous dansez, je sais pas trop où aller. Le stigmate c’est un signe non spécifique qui indique que la personne est malade. À trop vouloir être pareil on deviens différent, on l’a pas écris dans le front mais c’est tout comme. Ouais! Je sais pas comment terminer ça… De nos jours la folie ça se soigne, se traite mais… Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

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