mardi 7 février 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pas le temps de souffler j’en démarre un autre. J’ai appris hier que Jack London l’écrivain du début du vingtième siècle, s’imposait l’écriture d’au moins mille mots par jour moi c’est cinq cents je vois moins grand. Il a neigé cette nuit dehors c’est tout blanc. Me suis tapé un cinq heures de télévision et j’ai bien dormis cette nuit. J’aime bien les commentaires de mon lecteur de la Rolls Royce. C’est bien cette nuit je suis très réveillé, je devrais recevoir le recueil de bandes dessinées bientôt. J’aime beaucoup l’émotion que ça me donne quand je l’ai en main de bon vieux souvenirs d’enfance quand je sentais que toute la famille étais là tranquille et que je me berçais avec mon album. Ils ont une très bonne idée les belges de la maison d’édition Dupuis de continuer à publier ce format. Je crois qu’il ne reste plus qu’eux à le faire ça va devenir des pièces de collection. La bande dessinée ça m’a fait tellement fait rêver, j’ai quand même lu mes romans français classique. Je crois qu’un à entrainer l’autre. Je crois qu’avec ça les enfants ont pas besoin de gadget si compliqué, on s’amuse avec peu. Ça ressemble à un acte de foi… Quelques centimètres de neige cette nuit, j’entends les camions qui reculent le son des avertisseurs.  J’ai enregistré la série d’émission sur les douanes à l’aéroport, ça me fait tripper les avions et les images d’aéroport, ça me donne envie de partir… Je peux pas vraiment ce mois-ci on commence l’écriture d’un nouveau cabaret poétique, ça va être une autre expérience intéressante. Me suis habillé, j’avais froid, je sais pas si vous pouvez imaginer le gros moi-même en bobette devant l’écran d’ordinateur, disons que ça manque de décorum. Je crois qu’il vente, je l’entends souffler dans la fenêtre. On écris sur le temps qu’il fait quand on sait pas quoi dire. Je suis content ces jours ci tout le monde est heureux. Faites vous une bande son de charrue et de camions pour lire ceci. Hier soir en regardant la télévision, j’avais l’impression d’avoir rendus les armes de collaborer de payer pour un peu de tranquillité, de plus combattre le capitalisme de m’être rendu au capital. C’est donc pas ça, les socialistes sont pas nombreux moi je suis un prolétaire fils de prolétaire, j’étais quand même privilégié. « Rouet du temps je veux filer de l’or, casser le fil méchant de honte et de remord »- Anne-Marie Gélinas http://www.biographiesartistesquebecois.com/Artiste-G/G%C3%A9linas,%20Anne-Marie/gelinasAnneMarie.html  C’est déjà vieux ça parle de mes trente ans j’en ai soixante, le temps a passé vite, j’ai plus envie de me battre. Je crois qu’il faut faire ses devoirs avant de militer pour ses droits. Je me sent comme un vieux vendu pourtant je m’engage à aider mes pairs… J’y arrive, j’y arrive pas de dictionnaire, j’écris crû un peu comme un analphabète. Je termine sur ces quelques mots en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
 

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