vendredi 3 février 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est le milieu de la nuit, c’était le milieu de la nuit! J’ai écrit ça et je me suis recouché pour me rendormir. Ça fait que je vous écris ce matin. C’est encore une belle journée pour ceux qui font des sports d’hiver. Je sais pas trop comment vous écrire mon senti ce matin. Je suis bien chez moi à la chaleur, hier j’ai regardé une émission sur les drogues à la Nouvelle-Orléans c’était épeurant, ça m’a rappelé où j’en étais y’a quelques années. Je pensais à la Petite-Bourgogne ce quartier défavorisé, je sais pas si c’est toujours comme ça. On en entend plus parler… Le psy disait qu’il fallait s’intéresser à ce que les voix disent pas au fait d’en entendre. Fermé le chauffage, ouvert la porte pour renouveler l’air, dans le goulag occidental on meurt plus jeune de maladie des poumons à cause des gaz d’échappements des voitures et des camions. Je crois vous l’avoir déjà mentionné. Je vais essayer de pas me diriger vers mon sujet de prédilection. Bientôt je vais participer à l’écriture de mon deuxième cabaret poétique, ça promet d’être intéressant, une écriture de groupe, je sais pas si je vais être capable mon habitude c’est d’écrire seul mais je crois que les ateliers vont m’inspirer. Je pense à un gars à l’école secondaire, ils avaient produit une de ses pièces à la Saint-Jean-Baptiste, ma sœur était de la distribution, ça ressemblait à du Marcel Dubé… Y’a cette urgence d’écrire, je sais pas pourquoi, c’est tellement mieux de prendre son temps. Ce midi je mange des sandwichs aux œufs et de la salade au macaroni, j’ai pris mon petit-déjeuner deux muffins aux carottes. Je sais pas si je fais une erreur de croire que j’ai une belle plume, j’essaye, j’essaye, ai souvenir d’un auteur fou que j’ai rencontré y’a plusieurs années, pour un article et sa photo dans le journal il croyait que les changeurs du métro le reconnaissait… C’était un orgueilleux qui buvait sa pinte de whisky à tous les jours. Pas aussitôt écris que je vous écrirais pas sur l’alcool que ça surgit, c’est tellement présent dans la vie d’aujourd’hui, y’a ceux qui se promènent avec un petit fiasque d’alcool. C’est toujours étonnant ceux qui boivent ont un parfum de boisson forte. J’attends toujours le postier un chèque de vingt dollars pour des sondages. Je pense à mon beauf sur son B.B.Q. en Floride quel chanceux, mais je crois pas que c’est de la chance il a travaillé pour, ma lectrice aussi… Ce matin c’est froid dans le goulag occidental, je pense aux grillades du restaurant portugais, de l’agneau où du lapin, c’est bon… Je lis plus religieusement LaPresse+, l’actualité me déprime, je suis déjà assez cinglé comme ça, c’est vendredi y’en a qui ont le vendredi chômé, c’est bien… Y’a beaucoup de circulation, j’entends les pneus qui roulent sur l’asphalte. Je termine… Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore un peu de courage. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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