lundi 30 janvier 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il fait froid, on pense à nos snowbirds et à notre lecteur de Mascouche en vacance à la chaleur. Pourtant c’est grand soleil la lumière rebondis sur la neige. Le facteur est passé, je crois que j’ai jeté par inadvertance le formulaire d’impôt provincial. Je crois pas que j’en aurai besoin mon lecteur de Deux-Montagnes va faire le rapport électronique. Quand les choses sont comme ça, ça me dérange… J’ai essayé de trouver le rapport de l’an passé je trouve pas. Je crois que je l’avais posté dans des enveloppes régulières. Je m’inquiète parce qu’il y a des montants de TPS et de TVQ qui me reviennent et j’ai peur de pas les avoirs. J’oublie pas que parler des impôts c’est comme au confessionnal on garde ça pour soi. C’est pas tellement grave je crois que j’ai jusqu’à la fin du mois de mars pour le faire parvenir. C’est pas de la grande poésie…J’essaye de vous distraire de cette folie meurtrière à Québec. Je vous en parlerai pas longtemps, je prie pour ceux qui sont partis. Les stores valsent à l’air chaud, les radiateurs chauffent, je suis content d’être à l’intérieur de pas trainer dans les endroits publics pour me réchauffer. Je suis pas guéris mais je vais mieux, le fou en moi s’est calmé, la voix s’est apaisée… Je pense aux écrivains toxicomanes et alcooliques qui ont écrit intoxiqué à mort… Je suis à jeun, le but c’est d’écrire, pas nécessairement une grande œuvre mais une petite part de quelque chose. Je suis revenus à mon cahier, c’est autre chose… Lentement le soleil se couche, se couche beau. Je devrais avoir deux nouveaux textes sur mes Humeurs culturelles http://www.iusmm.ca/humeursculturelles.html  peut-être demain. L’hiver les femmes sont emmitouflées, j’ aime bien quand le printemps arrive et qu’elles se découvrent lentement, il est un peu tôt pour pensés à ça, c’est pas encore le temps. Le téléphone a sonné une fois, je sais pas qui c’est, j’ai pas eu le temps de décroché, c’est peut-être mon lecteur de Deux-Montagnes très occupés. J’aime beaucoup la lumière à cette heure-ci, un peu passé seize heure. Toujours le souvenir quand après l’école on jouais au hockey bottine dans la rue c’était vraiment amusant tous les gars étaient là. Cet après-midi je me disait que c’était pas très sérieux écrire, je sauve pas une vie avec ça, quand-même tu peux commencer à écrire plutôt que de te suicider. Je pense que ça marche, l’expression est importante… Quoi que c’est un long parcours, parfois ça fait mal mais quand on termine quelque chose on se sent grandis, c’est de la folie mais une belle folie prosaïque. Vous pouvez rire c’est permis, mon sérieux cache une douleur que je sais pas comment qualifier. Bientôt ce seras la nuit, un lundi difficile, je souhaite à tout le monde du repos et de la tendresse. Je termine encore une fois là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard

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