vendredi 25 novembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi c’était cinéma, le film L’Arrivée un film de science-fiction de Denis Villeneuve. Touchant et intelligent disais mon lecteur chauffeur d’autobus sur la rive nord, je suis d’accord. Quelqu’un a sonné à ma porte cet après-midi, on à pas laissé de message j’étais partis. Je croyais que c’était la livraison d’une bande dessinée mais je me suis rappelé que j’ai croisée le facteur en sortant. Viens de me souvenir que c’était les policiers qui ont sonné dans la nuit. Une salle de cinéma ça me calme, j’y vie de belles émotions. Je vous parlerai pas du black Friday ça me touche pas. Il est seize heure trente il fait déjà noir. Je respire par le nez. Je cherche au fond de moi ce que je pourrais exprimer, au cinéma j’écoutais une dame parler à son enfant c’était du charabia parfois c’est pas la sonorité c’est la schizophrénie. Je suis maudit, http://www.lapresse.ca/videos/actualites/201604/29/46-1-les-poetes-maudits.php/10b0145470df4f3cbe73dbace3ebe89a Je reviens avec mon vieux stock. J’aime pas ça être vide comme ça, mon âme est dans le silence il serait temps que je meuble ce que j’ai entre les oreilles où peut-être écouter la folle du logis. Le temps passe… Voilà un billet sur un film que je suis allé voir précédemment http://www.iusmm.ca/institut/humeurs-culturelles/billets-2016/hacksaw-ridge.html  c’est pas de la grande littérature mais je crois que c’est du grand cinéma. Je suis chez moi, je crois que c’est bien, j’espère que mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes va lire ce que j’ai écrit sur ce film et que ça va l’encourager à le voir. Bon! Ce soir j’ai un peu plus la foi. Je me demande ce que ça donne toute cette écriture, c’est un peu absurde.  J’aime le français ma langue maternelle mais je peux pas être plus français que les français. Vendredi soir c’est le week-end y’a des gens qui vont aller manger au restaurant et des femmes qui vont demander à leurs chums d’aller danser dans une boîte de nuit. À l’époque le staff de la discothèque m’appelait le paquet, la moppe. Y’a longtemps de ça. https://www.youtube.com/watch?v=WPFfxi8_5uk Voilà une très belle version du succès de Stephen Faulkner Je suis fauché. J’écoute ce que ma petite voix dis, vous en avez une vous de voix? À la télé c’est la chronique économique je vous parlerai pas de mon état financier. Parfois je m’ennuis des visites que je faisais chez ma lectrice de l’Outaouais mais je comprends ,sa famille s’agrandis elle est grand-mère et il faut qu’elle s’occupe de ses bouts-de-choux. Je trouve plus je suis vidé, j’essaye de trouver un angle sur lequel terminer. Étrangement je pense au patriarche à l’époque où il travaillait dans le bois, j’étais petit gars et parfois la fin de semaine on le voyait pas, il restais sur le chantier et nous on allait chez pépère et mémère Côté à Normandin. On y allait en autobus de Dolbeau à Normandin. Parfois avant d’aller aux vêpres avec Maman on s’arrêtait chez tante Émilie. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ciao!!!

Bernard

 

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