vendredi 11 novembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Le chat du voisin est seul, il miaule, je l’entends… C’est l’après-midi je sais pas trop ce que je dis. Y’a un grand poète qui est partis. Je crois que je retourne en enfance je viens de terminer la lecture d’une bande dessinée certains historiens de l’art font démarré la B.D. par la tapisserie de Bayeux c’est sérieux, une broderie longue de soixante dix mètres… Ce que je dirais du poète, montréalais, oui, mais on l’a jamais entendu dire un mot en français https://www.youtube.com/watch?v=ttEMYvpoR-k  C’est plutôt un poète anglophone du plateau qui si vous le fréquentez est maintenant très anglophone bcbg. Cohen il a jamais tenus pour moi une grande place dans la musique où la poésie. Je suis pas de cette culture là, si je suis cultivé. Il avait la langue de la majorité nord-américaine moi j’admirais les poètes québécois francophones, Desbiens, Daoust,Miron, Godin,Vanier, Malenfant, Langevin, Hivon… et beaucoup d’autre qui tentent de laisser une marque francophone dans ce monde d’amérique anglophone. J’oublie pas les paroliers les auteurs de chansons qui font ce que nous sommes. Je laisse ça là pour revenir à mon senti de l’époque où j’étais « en amour » quand la copine m’a laissé, j’ai pas lu la lettre qu’elle m’avais écris, je voulais m’étendre au milieu de la rue Saint-Denis pour une méprise… C’est loin tout ça plus de trente ans je crois, ça pas de bon sens, le senti c’est celui d’aujourd’hui moins malingre. Je suis vide je cherche pour trouver le mot juste, c’est les limbes émotionnelles entre l’enfer et le ciel, ça fait pas mal c’est juste plate. Cohen tout le monde croyait être son voisin alors qu’il vivait en Californie pas sur la rue Saint-Laurent. Dans la poésie pour moi y’a que Francoeur qui a réussis à marier l’américanité, le joual, et la québécitude, le rock… Parfois les gens mélangent le vaudeville et la poésie, Mado c’est pas une poétesse, dehors y’a quelqu’un qui gueule je ne sais pourquoi? C’est grand vent ce soir, les arbres du goulag occidental sont secoués et les feuilles tombent. Tout ce qui étais vert est partis, reste que les sapins et les pins, les cèdres aussi. J’ai l’impression d’être un enfant qui écris une composition pour son cour de français. Voilà où j’en suis avec mon écriture. J’aurais besoin de quelques mots savants où quelques néologismes, ça serais plus obscurs mais souvent les gens nomment ça poésie quand c’est moins clair et plus complexe. J’écris rien qui brasse, rien qui me brasse, les femmes disait c’est que des mots. Pourtant j’aimerais bien pouvoir vous toucher parfois j’ai l’impression qu’il y a juste ma lectrice secrétaire syndicale à la retraite qui me lis. Le ouikend qui s’en viens, je sais ça s’écris pas comme ça pour bien faire j’écrirais la fin de semaine… Je vais essayer de marcher quoi que j’ai toujours un peu peur. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

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