samedi 5 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis un peu découragé, je devrais écrire des livres de recettes, y’a plus de monde qui me lirait. Cet après-midi j’ai marché pendant une demie- heure trois quart d’heure. Je suis rentré chez moi j’étais en sueur, ai fermé le chauffage et ouvert la porte, me suis acheté un roman noir, il est quatorze heure trente. Je sais pas pourquoi le temps est si important. J’ai marché sur les pas de mon camarade il a ralentis, ne parle plus seul et est maintenant barbus… Ai réchauffé une quiche pour souper, comme toujours je cherche l’émotion… Je suis encore dans mon cahier et ici. Cet après-midi RDI présente pas le journal de France2. Je pense à la Provence où j’irais bien.  J’ai fait un somme, une sieste, de l’émotion! Je veux de l’émotion mais tout est dans ma tête comment traduire ce discours innommable ultra-présent. Je me souviens de ces samedi où avec l’ami on faisait les tavernes de Laurentide-Lanaudière on se rendait même chez les indiens à Saint-Michel-des-Saints… J’avait le côté affectif dérangé j’abordais les gens sans leur demandés leurs avis. Viens un moment où au bar tu a tout raconté, rien de nouveau, et tu délire a te rendre saoul. Je vous en parle souvent ça a longtemps fait partie de ma vie. Je courais chez moi après avoir acheté du pain et du rôti de porc, je soupais prenais une douche et partais sur la rhumba comme disait le waiter. Je sais pas si avec moins de difficulté je serais devenu autre chose si j’avais eu toute ma tête? Ce fut de longues années… Je cherchais toujours une copine souvent je me retrouvais avec des lesbiennes, c’est un de mes problèmes j’aime bien les femmes aux femmes comme certaines femmes aiment bien les homosexuels. J’aimerais bien trouver la bonne mélodie sentimentale quoi que les rockeuses aiment pas ça. « It’s only rock’n’roll but I like it ». Le samedi soir c’est toujours plus tranquille on se remet du hangover du vendredi. J’essais de bâtir quelque chose quand j’écris… Tiens! Y’a toujours la schizophrénie bête et dérangeante. J’ose plus sortir même dans les endroits sains, de ce temps ci je suis seul ça me tente pas d’aller regardé les murs d’un café… Le téléphone a sonné c’est un ami je crois l’aider quand je l’écoute mais lui aussi m’aide c’est un échange. Je cherche de nouveau propos, j’en trouve pas, je serai allé au bout du monde pour me renouveler et je radote la même chose. Y’avait ces soirées passées chez Mama Leone je crois vous en avoir déjà parlé. À force de me répéter comme ça je vais vous faire peur et vous allez cesser de me lire. J’ai commencé sur ce thème là, le manque de lecteur et j’y reviens. Quelques mots encore pour terminer, je crois en voir assez dis pour ce soir et je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Et comme toujours au revoir!!! Ciao!

Bernard

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