jeudi 3 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce soir je recommence a taper mon texte à nouveau. Une pub m’a ému un jeune migrant qui joue du cricket à qui on offre une paire de patin et qui compte un but sur la patinoire. Vous êtes pas supposé le savoir que je recommence, je remercie l’édimestre des humeurs culturelles pour son bon mot. Coucher de soleil d’hiver, orange et bleu, la nuit s’en viens. Me semble que je vous écris ça souvent. Je tripe toujours sur les avions. Mais oui aujourd’hui j’ai quitté le goulag occidental pour me rendre dans mon ancien quartier de Villeray, me suis rappelé des cousins cousines qui habitaient rue Boyer et de la fois où à dix onze ans je m’étais perdus coin St-Hubert et Jean-Talon, tante Gisèle avait envoyé le cousin me chercher. C’est le mois de Mars le parfum de sapin est disparus du parc Lafontaine, sur un côté plus intime le savon est trop parfumé ça me donne des démangeaisons. Ce soir j’ai mangé l’excellent spaghetti que ma lectrice de Deux-Montagnes m’a donné. Je pense que les snowbirds ont changé de terrain de camping aujourd’hui. Je cherche une émotion à vous faire vivre, je trouve pas, j’aimerais bien avoir le type d’écriture brute sorties des ornières du sentier de la folie. Méchante phrase de fou! Le ciel est turquoise c’est beau… J’ai juste maudit grand fou dans la tête, ça résonne et raisonne mal. La voisine continue de se promener sur la passerelle heureusement à part ça elle est tranquille. L’ami m’a rappelé qu’en dedans, en prison, les psychiatrisés on appelle ça des soucoupes. Je lui ai raconté que Dieu c’était fait couper le téléphone parce qu’IL avait pris trop d’appel à frais virés et que maintenant les gens étaient obligés de prier. Demain vendredi la dernière journée avant le repos du week-end, vous me direz qu’est-ce que t’en a a faire? Je vous dis que je travaille tout le temps même la fin de semaine. Ce soir je crois que je vais encore illustrer le tout par une image des pays chauds. Je suis pas si tôt revenus que je voudrais repartir. Je sais plus trop quoi vous écrire, pauvre écrivaillon à mon âge je devrais pensés aux choses sérieuses mes lesquelles, la bouffe, la soif, le sexe? En tout cas je crois pas que je brûlerai en enfer je l’ai connus sur terre c’était long et pénible… Ce midi j’écoutais des gens parlé du mal, je sais que ça existe le mal mais viens un temps où on vie sans. Bein non! Bein non! On est pas dans Sélection du Reader’s Digest, je crois que ça existe plus. Comme toujours ces temps ci mes textes sont pas fort. Je remercie mon lecteur de Terrebonne qui a pris le temps de lire mon texte de Cuba. Ce soir j’aime bien mon refuge mon chez moi. J’ai une pensée pour tout ceux qui me lisent. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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