vendredi 5 février 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vous écris du matin, en pensant aux snowbird en Floride. Chez moi c’est frais semble que dehors il fait froid. J’ai mis une petite veste ça fait un peu vieille fille. J’ai remarqué que lorsqu’on parle de rétablissement les gens reviennent sur leur passé, sur ce qui n’a pas marché pourtant le rétablissement c’est aujourd’hui maintenant le passé on peut rien y changé c’est quand même de l’expérience. Ai mis le chauffage, comme toujours j’essais de vous écrire mes sentiments intérieurs, je sais pas si ça se dis. J’ai un monde intérieur assez riche peut être trop, j’ai une migraine… Parfois je suis moins paranoïaque, je veux aller vite dans l’expression comme si mes émotions allaient disparaitre. Je pense au gars dans un documentaire qui disait se battre contre des milliers de voix, moi j’en ai qu’une et c’est déjà très compliqué, je vois pas comment je vivrais avec plusieurs. Il fait plus chaud dans le studio, mes comptes sont payés ça me laisse libre pour autre chose… J’ai toujours Paris en tête c’étais pas un voyage de noces, j’y retournerai un jour. Me suis préparé un café, faut que ça bouge ce blog là,  je parle pas tellement des actualités. Je trouve dégueulasse les proxénètes et les jeunes filles en fugues. Mes amies les puéricultrices doivent avoir hâte que ça se règle dans les CPE. « Quelle vie d’orgie, quel monde de sexe, y’a plus rien à l’index »-J.P.Ferland. L’index des livres c’étais garant d’un succès sous la couverture. Henry Miller a longtemps été interdit dans son pays les U.S.A. j’ai lu ça y’a longtemps dans la période décadente de ma vie, tout se passait dans ma tête, la lecture de ces textes hot me laissaient froid. Y’avait aussi Bukowsky et sa folie ordinaire qui rimait avec une forme d’alcoolisme que j’appréciais. Quand j’y pense on peux pas tous être créatif et alcoolique. Plus près de nous y’a Desbiens le poète du nord de l’Ontario très précis dans sa poésie. Je prend mon café et je bave comme un cochon qui a la rage. Viens de regarder les actualités rien de neuf… Je trouve Geneviève Asselin, la lectrice de nouvelles, très jolie. J’essais de vous amener vers la photo d’aujourd’hui, c’est l’œuvre Trois disques d’Alexander Calder et le dôme géodésique de la Biosphère de l’architecte Richard Buckminster Fuller. L’œuvre de Calder est une structure en acier inoxydable non poli composée de cinq arches qui se chevauchent et s’appuient sur six jambages effilés dont la cime est ornée de deux pointes et de trois disques. La sculpture symbolise le progrès et la puissance humaine. Le « stabile » est d’une hauteur de 22 mètres, il est le deuxième stabile le plus imposant.À la demande de L’International Nickel du Canada, il n’a pas été peint ce qui en fait le seul exemple de stabile non peint. Commandée à Calder par l’International Nickel du Canada pour l’Expo 67. Alexander Calder est né en 1898 à Lawnton Pennsylvanie, il possède une formation d’artiste et d’ingénieur. Considéré comme l’un des sculpteurs les plus marquants du XXei siècles. Stabile est un mot inventé par Jean Arp qui désigne ces œuvres monumentales composées de formes simples fixées au sol. Calder est décédé à New-York en 1976. C’est une sculpture qui fait partie de la collection d’art public de Montréal la fin de la production est en 1967, la date d’accession est le 30 octobre 1967, la technique est découpé; assemblé;boulonné;soudé en acier inoxydable Ses dimensions sont de 2130 x 2200 x 1625 cm.Y’a des variations du titre Man, Three Disks; L’Homme;Man; The Man. On peux la voir au Parc Jean Drapeau de l’Île Sainte Hélène tout à côté y’a la Biosphère de Montréal un dôme géodésique, le plus imposant du genre au monde due à l’architecte Richard Buckminster Fuller, en 1976 un incendie a consumé le revêtement de polymère. La structure construite en acier est demeuré utilisable. Je termine là-dessus en vous remerciant de votre lecture!!! Merci! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

P.S. Si vous voulez mieux voir la photo cliquez dessus.

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