dimanche 28 février 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis triste, je crois que c’est parce que je vois le gros insignifiant à Trump mené sa campagne. Ce que je ne comprends pas ce sont ces femmes qui l’appuient, son discours débile. J’ai de la peine y’a longtemps que j’ai pleuré, je pleurais en regardant la télé tous ces réfugiés, les morts et la guerre… Aujourd’hui j’ai un peu écris dans mon cahier ça me soulage pas. Je dois toujours écrire à partir de mes tripes, c’est difficile quand je suis seul j’ai pas beaucoup de réaction. L’asiatique du dessous écoute de la musique orientale. J’écoute ce que la voix me dit, c’était plus facile de me rendre à Cuba pour une semaine qu’à New-York pour trois jours. Je pense encore aux vieilles rues magnifiques de La Havane. Parfois c’est l’hiver qui me rend triste, je discutais voyage avec mon lecteur chauffeur d’autobus à comment le prochain c’étais pas pour tout de suite, dans une vidéo sur facebook j’ai vu des gens sur une terrasse faire de la danse en ligne sur une chanson de Johnny Cash qui se retournerais dans sa tombe. Semble que les vacances c’est la permission d’être niaiseux vous ne m’y reprendrez pas. La niaiserie c’est ça qui me fait pleurer pourtant quand mon lecteur de Deux-Montagnes niaises il me fait rire. J’ose pas trop vous écrire sur les peaux mortes que j’ai dans le nez, je fouille pas en public, j’ai le nez sec. Lentement la nuit s’en viens, je pense au temps d’attente dans les hôpitaux, heureusement je me rétablis je n’y vais plus, je touche du bois. Mais oui maintenant je veux vivre, ma vie a un certain sens, c’est pour ça que j’écris ça m’aide dans les passages plus difficiles. C’est possible de vivre sans vouloir à tout moment mourir ce que je regrette c’est tout ces moments passés a demandé des soins. C’est pas que j’en avais pas besoin, la shizophrénie ça se stabilise, juste que j’aurais dû accepter plus tôt. Je reviens au voyage à cette magnifique église à Cuba… Je veux pas tout vous révéler j’ai un texte qui va paraitre sur les humeurs culturelles. Les lampadaires viennent de s’allumer, rien de très émouvant faut écrire beaucoup pour trouver deux ou trois choses touchantes. Je me vois jeune homme marchant sur le trottoir sous la pluie, je pleurais j’avait pas d’endroit où aller, pas de travail seul et fauché je marchais rue Christophe-Colomb, je sais pas pourquoi, peut-être parce que une de mes tantes habitait pas loin dans Villeray. Je peux pas dire que j’ai pas de vécu, un peu d’expérience à l’école de la rue. « Blue jeans sur la plage »-Lucien Francoeur. Je trouve plus quoi vous écrire. Je ne marche plus je devrais mais j’ai pas de voiture je marche donc plus que quelqu’un qui a une automobile. Voilà une phrase très laide. Ce soir j’ai pas de rythme, je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire