dimanche 17 janvier 2016

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le week-end tire à sa fin. J'envois toutes mes sympathies aux familles des québéquois mort dans l'attentat de Ouagadougou.Cet après-midi je suis assis tranquille chez moi après ces horreurs j'ai moins envie de partir en voyage. Je sais la terre arrête pas de tourner mais elle tourne mal la terre. Si j'ai bien compris plus ça change sur le blog plus on a de visiteurs. Ça ressemble vraiment à un dimanche d'hiver. Hier j'ai beaucoup marché je crois que c'est pour ça que j'ai bien dormis. Je suis content d'avoir un studio et tout ce qu'il faut, être sortis de ces saloperies de maisons de chambres. Y'a des choses que je me rappelle comment mon bôf m'appelait le chambreur, j'avais pas vraiment le choix de vivre autrement." Ha! Tu verras, tu verras, tout recommenceras, tu verras... Jusqu'au matin du monde"-Claude Nougaro.Je me demande pourquoi j'écris ça pourtant j'ai pas le nez plein. Le ciel s'éclaircis c'est bleu. J'arrive plus a tenir ce beat d'enfer pourtant j'y tiens c'est peut être un trouble obssessif compulsif mais je sais quand viens le moment de m'arrêter. En ce moment c'est assez pour le café... J'ai souvenir du temps ou je partais de Montréal sur le pouce pour me retrouver à Terrebonne bein du voyagement pour pas grand chose, c'étais pas un TOC c'étais l'affect. Je tenais pas en place avec cette douleur, y'a vingt ans j'ai eu mal à en avoir peur, un vide sidéral à mourrir. J'ai tout arrêté et je suis revenus. Juste a y penser j'ai de la peine, l'angoisse que chacun meuble comme il peut, vous me croirez peut être pas mais je devrais être mort... C'est pour ça que j'écris j'aurai pas une deuxième chance. J'écris tout de suite ou j'en finis, je me berce zombie devant la tivi.Et là je cherche quoi vous écrire, j'ai téléphoné au lecteur chauffeur d'autobus on a parlé de choses personnelles c'était intéressant si vous voulez en savoir plus vous avez qu'a me suivre dans mes écritures. Je suis dans les nimbus je regarde et ils s'étirent. Ai regardé les actualités en rêvant de soupe à l'oignon gratinée. Je cherche des souvenirs comme par exemple quand je trainais dehors et j'allais au restaurant El Rancho à l'époque dans le vieux Terrebonne, je faisait pas mes devoirs j'étudiais pas entre là et la poolroom. Je cherche les souvenirs communs avec mes frères et soeurs. Je pense à ma soeur et à sa copine Aline qui se pâmaient devant les garçons plus vieux, moi je voulais être comme eux j'aurais aimé que des jeune filles se pâment pour moi. C'est tout je vous remercie toujours d'avoir lu jusque là!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

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