mercredi 25 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! La machine marche mal. Je vous écris pendant le bulletin de nouvelles du Réseau de l'information. On y parle des réfugiés pendant ce temps là ça jamme sur la rue Frontenac... Y'a des policiers qui font la circulation.Cet après midi j'ai dormis. Je rêvais que je faisait du vélo. Je partais de Montréal-Nord pour me rendre au parc Maisonneuve.Je m'écoute la voix intérieure dis pas grand chose...Un jour à la fois je ne consomme pas.Suis heureux pour le cousin qui s'est trouvé un job d'adjoint administratif. Les vieux sénior comme moi on pense pas à ça, tout ce que je voulais faire dans la vie c'est écrire c'est ce que je fais. Y'a une couple de semaine j'étais avec un ami sur un viaduc de la rue Sherbrooke au dessus d'une voie ferrée, une gare de triage, je croyais devoir sauté en bas, méchant malade! Je m'excuse auprès de mon lecteur prof retraité du conservatoire. Il a repris l'enseignement, j'espère que ça va bien.Parfois pour écrire faut utiliser les mots avec parcimonie.Ce soir j'ai mangé une soupe Chunky de Campbell elle était bonne. Ce qui est étrange c'est que j'écris pour me sentir bien mais parfois j'ai mal, une douleur dans le thorax. Une pesanteur dans la tête. De ce temps là quand j'écris la télé est omniprésente elle tue quand même pas l'angoisse, je sais pas si avoir une blonde tuerais l'angoisse. Les otages hier c'était des bandits qui voulait l'argent d'un banquier. Je pense au silence auquel je voudrais arriver... Je suis pas le roi de la méthaphore,mes désirs comme biens d'autre m'amène dans des endroits inconnus. J'essais toujours d'écouter ce que dis ma souris, mon rat, mon hamster, mon lemming, mon cochon d'inde j'avais écris mon cochon d'onde c'est un peu ça. C'est un à la fois c'est pas une chorale animale. Pendant ce temps là mes poumons respirent les gaz d'échappements des voitures au goulag occidental. C'est terrible tant écrire et n'avoir rien a dire, j'écris comme on discute à la bonne franquette. On a eu droit à sa majesté à la télé, je me rappelle avoir été bien accueuillis à la maison du gouverneur-général par sa femme qui m'avait fait un gros hug, cette maison là c'est remplis d'oeuvres d'art... Me reste qu'une ou deux lignes a vous écrire... Je viens de finir le ménage et y'a encore des petites mouches je vais chercher d'ou elles viennent. Un ami viens de me téléphoner on a parlé Hockey. Ce soir le blog est pas fort je m'en excuse et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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