mardi 29 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! À quoi bon écrire? Je lis présentement un recueuil de nouvelles qui à l'origine sont parues dans le magazine New-Yorker y'a quarante ans, le livre a été publié en deux milles quatorze. Ça me fait dire de pas perdre espoir... Aujourd'hui il pleut sur le goulag occidental. J'ai regardé la télévision j'aime bien quand on vois des avions ou des vues de vols d'avions. Je devrais peut être essayer de publier un texte dans ces magazines qu'on trouve dans les vols internationaux. Au jourd'hui aux actualités ils parlaient d'une usine de Trieste qui indiquais la relance économique et industrielle de l'Italie, bravo! Trieste c'est si beau la mer et la montagne, je me reprend la mer et les collines et le cheval bleu symbole de la libération des fous. Croyez pas que je m'analyse pas pourtant ça donne rien. Je suis trop idiot pour induire des changements. Je pense aux gens qui fument et qui boivent de l'alcool à comment ils vont préférer rester chez eux, moi de toute façon j'étais trop dingue pour me faire des amis dans les bars. J'étais incapable de jouer au bonhomme pendu, je faisait dur. Y'avait un jeu électronique au bout du bar je m'en lassait c'étais pas long, je pense aux staff de ce bar à comment plusieur y ont laissé leurs santé. Je pense a vous écrire sur l'homosexualité un thême encore aussi tabou que la maladie mentale. Je vous écrirai pas longtemps là dessus je suis pas gay mais j'ai des amis qui le sont. Je pense souvent à eux... C'est le genre de choses qui colle à la peau dès qu'on les mentionne, on vous assimile rapidement enfin c'est pas très grave y'a un age ou ça touche moins. Cette semaine les jeunes étaient assis devant le bureau de la sécurité du revenu, je crois qu'ils attendaient un chèque pour comme toujours à la fin du mois se payer un peu de bon temps mais pour aussitôt retomber dans l'indigence. Je sais je vous ai déjà écrit là dessus. Je peux pas vous décrire la vie d'un mendiant je le suis pas et je sais très bien que c'est pas comme ça qu'on paye le loyer Tiens! Demain j'irai m'acheter du fromage pour en même temps remplir l'armoire et le frigo.Je reviens sur les bars j'y avais des amis mais pas nécessairement ceux que je voulais, j'étais bête a manger du foin. À cette époque la solitude étais pesante, la maladie aussi. Je passait des nuits dehors et rentrait qu'au petit matin trop souffrant pour me faire un chez moi qui a du sens. Bon! Je termine ça en vous écrivant que je me suis charcuté le visage en me rasant. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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