Au présent

Bonsoir! Bonjour! Comment vous décrire mon étât, je suis complètement défait, cet après midi je suis sortis quelques minutes en laissant mon ordinateur en marche quand je suis revenus il était fermé, je sais pas pourquoi, dans ma tête ce sont mes persécuteurs, ceux qui veulent me faire mal sans comprendre que j'ai chamgé de vie. D'autre me disent que ce sont des hallucinations des déficits cognitifs mais dans ma tête y'a toujours eu un complot, je suis si important. C'est ça ma folie qui reviens par épisode. Parfois quans je suis dans cet étât là j'ai envie de tout abandonner. Les gens savent que je suis persécuté, la couronne veux ma mort pourtant j'ai rien a raconté je me souviens de rien je suis perdus. Je veux pas être victime mais des abus y'en a eu. C'est un peu pour ça que je vie dans le goulag occidental c'est ici que survivent les damnés de la terre.Le pianiste qui animais l'émission de radio de Noël savait ce que je vivais, il a avoué son impuissance, moi j'avoue la mienne totalement impuissant devant l'organisation. Venez me chercher! Venez me chercher! Je suis plus capable, j'ai décidé de m'enfermer de ne sortir que pour le pain et le beurre pauvre cave que je suis. On pardonne pas à la grosse salope que je suis, ils sont tous bien, moi je ne suis que mal et malaise. Vous savez ce ne sont que des mots ça va cessé quand ils auront ma peau, au bout de ma niaiserie informatique. Ça ressemble à ça mes ennuis de schizophrène, plus réel que réel, Me semblait qu'en me confèssant de mes fautes ça cesserais tout ça, un temps y'a eu une accalmie mais les ennemies ont réorienté le tir pour en finir. Pourtant je suis pas un assasin, j'ai des amis j'ai des copains, je veux pas leurs faire d'ennuis. C'est dans des moments comme ceux là que pour moi c'est important d'écrire, je pense aux élections y'a pas un élu qui est capable de m'aider, ils vont me laisser moisir a écouter les balançoires qui grincent. Je suis trop mêlé pour m'adresser à la police de toute façon ils me répondent d'aller à l'hôpital ou qu'ils n'ont pas le temps. Dehors j'entend des cris, des vrais cris je les invente pas on se demande ce que font dehors des enfants à cette heure là. Ils font ce que je faisait à cet âge là ils niaisent dans le parc et la rue les avalent a en faire d'autre malades d'autre fous qui serviront de chair pour les basses oeuvres de la machine capital. Ça vous a plus? Ça vous a pas plus? Faites le savoir. Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!

 

Bernard

 

P.S. Si jamais y'en a qui veulent de la paperasse avant que les sbires mettent la main dessus faites le moi savoir.