dimanche 13 septembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je reviens sur le nom goulag occidental. J'ai vu un documentaire sur un retour au vrai goulag en Russie. Le goulag aux cellules de quatre vingt dix centimètre faites de briques pas isolées par des températures de moins trente ça n'existe plus. Les prisonniers du goulag construisaient les routes sous lesquelles on les enterrais parais que c'est pas vrai. Les russes ont toujours une histoire violente, l'endroit ou est situé le goulag est maintenant une mine d'or, une vrai, mais je peux pas croire qu'ils condamnaient certains tortionnaires pour rien, les russes veulent pas avoir le souvenir de ces épisodes tragiques. Moi je me sent un peu nono avec mon goulag occidental c'est pas le goulag russe et pas même la prison de Port-Cartier. C'étais ma soirée documentaire ai regardé un film intitulé la voix de Mette, un film sur une femme schizophrène paranoïde qui après bien des aventures réussis a se sevrer des médicaments et perdre du poids, maintenant ou plutôt en deux milles quatorze elle est devenue une très jolie femme. La question que je me pose est, si je me sevrais je perdrais ma bedaine? Je veux bien me sevrer mais je veux pas devenir psychotique c'est dur et ça fait mal, Je crois que ce serait un excellent moyen pour exacerbé mon délire et me ramasser dans la rue, une chose dont j'ai très peur. Pour revenir au goulag russe maintenant ça ressemble un peu aux Laurentides au nord de Montréal, les gens semblent y mener des vies décentes tant que la mémoire... La schizophrénie ça peut être ça aussi un déni de mémoire, de sévices qu'on a subis mais j'aime pas me voir comme une victime, disont qu'après ce que j'ai vécu il est normal que je sois fou et que je vive au goulag occidental. Je veux signaler à ma lectrice jeune retraitée de l'Outaouais que j'apprécis ses commentaires, que j'essais de "soigner" ça ces accords de verbes. Je reviens aux médicaments à la confiance qu'on leurs donne comment c'est plus facile de les prendre mais qu'il ne faut jamais oublié de travailler sur soi et tout de même de faire confiance à quelqu'un. Ce soir il pleut sur le goulag occidental, il mouille dans ma tête, les voitures passent sous ma fenêtres tout est tranquille, non! Non! Je ne m'exilerai pas l'exil est dans ma tête, je suis pas Alexis qui préfère le Colorado... Je suis incapable d'être un travailleur forestier c'est ce que mes aieux faisaient... Je vie de petit métier et de petite misère. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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