Bonsoir! Bonjour! Ce soir je reviens sur le nom
goulag occidental. J'ai vu un documentaire sur un retour au vrai goulag en
Russie. Le goulag aux cellules de quatre vingt dix centimètre faites de briques
pas isolées par des températures de moins trente ça n'existe plus. Les
prisonniers du goulag construisaient les routes sous lesquelles on les enterrais
parais que c'est pas vrai. Les russes ont toujours une histoire violente,
l'endroit ou est situé le goulag est maintenant une mine d'or, une vrai, mais je
peux pas croire qu'ils condamnaient certains tortionnaires pour rien, les russes
veulent pas avoir le souvenir de ces épisodes tragiques. Moi je me sent un peu
nono avec mon goulag occidental c'est pas le goulag russe et pas même la prison
de Port-Cartier. C'étais ma soirée documentaire ai regardé un film intitulé la
voix de Mette, un film sur une femme schizophrène paranoïde qui après bien des
aventures réussis a se sevrer des médicaments et perdre du poids, maintenant ou
plutôt en deux milles quatorze elle est devenue une très jolie femme. La
question que je me pose est, si je me sevrais je perdrais ma bedaine? Je veux
bien me sevrer mais je veux pas devenir psychotique c'est dur et ça fait mal, Je
crois que ce serait un excellent moyen pour exacerbé mon délire et me ramasser
dans la rue, une chose dont j'ai très peur. Pour revenir au goulag russe
maintenant ça ressemble un peu aux Laurentides au nord de Montréal, les gens
semblent y mener des vies décentes tant que la mémoire... La schizophrénie ça
peut être ça aussi un déni de mémoire, de sévices qu'on a subis mais j'aime pas
me voir comme une victime, disont qu'après ce que j'ai vécu il est normal que je
sois fou et que je vive au goulag occidental. Je veux signaler à ma lectrice
jeune retraitée de l'Outaouais que j'apprécis ses commentaires, que j'essais de
"soigner" ça ces accords de verbes. Je reviens aux médicaments à la confiance
qu'on leurs donne comment c'est plus facile de les prendre mais qu'il ne faut
jamais oublié de travailler sur soi et tout de même de faire confiance à
quelqu'un. Ce soir il pleut sur le goulag occidental, il mouille dans ma tête,
les voitures passent sous ma fenêtres tout est tranquille, non! Non! Je ne
m'exilerai pas l'exil est dans ma tête, je suis pas Alexis qui préfère le
Colorado... Je suis incapable d'être un travailleur forestier c'est ce que mes
aieux faisaient... Je vie de petit métier et de petite misère. Merci d'avoir lu
jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
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