dimanche 31 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous ai un peu abandonné, suis de retour de l'Outaouais, pour vous dire que dans les occasions spéciales, l'anniversaire d'une lectrice à la retraite, on en sort parfois du goulag occidental. Je suis très heureux et très ému d'avoir assisté à cette fête de famille, on s'est bien amusé j'ai vu que des gens biens et beaux. C'est dimanche après midi j'ai ramené un CD de Dave Beauchamp un excellent artiste de l'Outaouais qui fait de la musique au réminescence des groupes rock alternatifs des années soixante dix, ça vieillis pas.Dans le goulag occidental cet après midi on entend la radio des voitures et l'éternel bip des camions qui reculent.Je suis seul je m'écoute,c'est pas des voix c'est une voix qui me dis d'écrire sans blesser personne. J'essaye, je veux rester positif, le ciel est quand même couvert... Je prend mon temps pour vous écrire. Je veux pas changé de personnage. Je suis vide comme ça arrive de plus en plus souvent, j'attend les muses comme toujours c'est quatre vingt dix pour cent transpiration et dix pour cent d'inspiration. Demain j'ai une réunion de mon groupe d'entraide. J'espère que nous ferons la différence que nous apporterons un peu de réconfort. La partie de soccer, dans le parc en face. est terminée. Le voisin prend l'air sur la passerelle. Je sais pas si je vous l'ai déjà écris, c'est un peu ça mon travail, ce blog qui m'amène parfois de la joie. Que je prend plaisir a écrire ça m'allume!!! Parfois on remercie pas assez, je prend les choses comme si elle allait de soi. C'est pas rien d'avoir des frères et des soeurs avec qui on s'entend, avec qui on partage des bouts de vie... Je sais pas si ça va vous plaire je pense aux lecteurs qui sont pas de la famille et qui me font l'honneur de lire ce qui, je l'espère, deviendras un jour de la littérature quand même je crois pas que j'ai le talent pour l'académie française. Je garde les choses à ma mesure et cette mesure c'est vous tous. Me reste que trois lignes a vous écrire, le goulag occidental est tranquille cet après midi... Je pense à ces gars qui il y a longtemps me traîtais de tapette, des ignorants et des inconnus, l'insulte passe encore pour bien rire mais quand c'est pour blesser c'est difficiles, c'est dénigrant. Ma vie sexuelle ça regarde personne et je vous en parlerai pas ici. Je vois que ça prend une tournure inatendue. Je m'étais pourtant promis de pas tomber dans le domaine de l'intime. J'en ai assez dis je termine donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 28 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ceci n'est pas mon journal intime comme certains le croient. L'intimité elle est dans un cahier sur la table, le blog c'est toujours ma vision du goulag occidental. J'ai une question pour vous, êtes vous déjà allé sur la Costa del Sol? Je crois que c'est en Espagne, je pense a m'y rendre cet automne c'est pas encore décidé. Étrangement vous écrire ça ça me fait plus mal que tout ce que j'écris. C'est pas fort la rédaction ce matin, je veux pas ramasser des coquerelles en Espagne. Y'a fait chaud dans le goulag occidental c'est supposé se rafraichir.Je viens de regarder la publicité du voyage je crois pas y aller. Aujourd'hui je suis angoissé, je sent un serrement sur l'estomac, les voyages c'est toujours occupation double mais moi je suis seul...Présentement je lis une histoire populaire de l'Amérique Latine, les espagnols conquérants étaient très cruels,un martyr pour les autochtones et les esclaves. Ils spoliaient l'or et les pierres précieuses... Retour au goulag occidental, je suis toujours dans les amériques, le nord a aussi eu ses martyrs. J'arrive pas a vous écrire sur ma vie intérieure, j'aimerais avoir une écriture incisive, vous faire voir comment le goulag vous rentre dedans, un quartier qui mord qui pousse vers les refuges d'itinérants, puisqu'on parle de torture en voilà une , être sans chez soi et marcher, marcher pas trop loin du refuge pour être là a l'ouverture... J'ai le souvenir d'une année ou j'ai été porte parole pour l'alliance canadienne pour la santé mentale et la maladie mentale, je pense a ce politicien imbuvable rencontré à Ottawa, ils comprenait pas un mot de français et disait appuyer ce que je racontais, enfin... J'écris trop vite je prend pas mon temps, tout mon temps comme disait le poète. J'ai le coeur lourd. Une phrase comme ça, c'est plus intime que la sexualité, le sexe en général ça m'embête, ce matin j'ai lu un court dossier là dessus dans LaPresse+ rien d'intéressant.Je cherche quoi vous raconter pour terminer, je pense aux milliers de nids de poules dans les rues du goulag occidental. Ici c'est la pauvreté qui mène, le goulag j'y habite parce que ça coute pas cher. Y'a des passants que je reconnais d'un jour à l'autre ce sont mes amis comme moi ils se sentent suivis la paranoïa, c'est exquis. J'ai pas envie de me battre j'accepte sans être une victime, comme d'habitude ce que je vous écris c'est du délire. Je vous remercis quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 27 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Vous savez tout, quand je vous écris comme ça et qu'après on se rencontre, j'ai plus grand chose a dire.Je vous livre mon quotidien et ça rajoute au dédoublement de la schizé. Le pire c'est que je me souviens pas nécessairement de ce que je vous écris. Hier j'ai installé le climatiseur. Je l'entend ronronner ça coupe le bruit de l'extérieur. Faut que j'avoue que d'une saison à l'autre il se passe pas grand chose dans ma vie ni dans le goulag occidental.Je suis pas journaliste, je désire pas faire d'interview comme souvent je vous écris du petit matin et je me perd... Viens de lire les actualités, à l'est rien de nouveau toujours la santé en manchette comme si on étais le peuple le plus malade au monde!!! Hier j'ai mis un vieux climatiseur au bord de la rue quelqu'un l'a ramassé mais trève de niaiseries je reviens aux émotions au sentis, c'est important quand je vous écris vous me servez de soupape, j'évacue la pression angoissante. J'ai jamais vu ça écrire dans le vide comme un funambule, je suis bloqué au milieu du fil de fer je peux pas sauter pour descendre y'a pas de filet. Mes métaphores sont pas terribles et je tombe je tombe heureusement à cette heure ci c'est un cauchemar du genre que je n'ai pas fait depuis longtemps. Je sais je suis dans le gouffre de la niaiserie, j'essais de faire l'écrivain et je pense à Danny Laferrière intronisé à l'Académie Française, une institution qui nous faisait rire il y a pas si longtemps et qui maintenant est revenue en grâce comment dire? Les beaux jours des pontes... Ce que je vous présente ici c'est pas de la littérature, le poète Garneau parlait d'écritoire comme si les mots étaient une chasse gardée. Pour moi ce serait encore plus déshonorant de publier à compte d'auteur. Je suis qu'un petit vieux et son passe temps. Y'a pas de poètes qui reviens d'ou j'étais dans ce monde les fous passent le balai brosse en attendant d'allés aux danseuses la nuit et de se jeter quelques bières derrière la cravate.Tout ce temps a passé, je suis vieux bientôt cinquante neuf ans. J'ai pas réalisé grand-chose c'est un peu pour ça que j'écris pour laisser une trace pour montrer la piste ou je m'étais engagée. Vous avez beau me faire des compliments sur ma plume j'y crois pas, c'est toujours a recommencer toujours perfectibles. Bein oui!!! Bein oui!!! Je suis un gros parfâ qui prend de votre temps. Je termine en vous remerciant comme toujours d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 24 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est difficile de vous écrire. Je vous imagine dans le jardinage ce dimanche après-midi. Dans le goulag occidental c'est redevenu vert et cet après midi c'est ensoleillé, dans le studio ça sent la bonne bouffe pourtant la semaine passée on m'a dis que ça puait chez moi! Je me prépare un café dans le parfum des galettes que faisait la matriarche. Les après-midi de week-end c'est difficile de faire de l'introspection. Je regarde la peinture de mon ami historien de l'art, c'est magnifique. Cyclistes, camions, voitures passent devant chez moi, étrangement je pense à Nijïnski, une réminescence de cette copine danseuse chorégraphe. Y'avait un ballet du nom de L'après-midi d'un faune...Debussy... Brel chantait "il faut bien que le corps exhulte" dans les mauvais romans on parlait d'hygiénisme pour certaines pratiques sexuelles, moi de cet angle là je suis déjà vieux, l'abstinence là aussi c'est plus simple. Lentement je bois mon café, le téléphone sonne pas. Demain c'est lundi le retour au travail pour plusieurs. Le matin dans les transports en commun ça sent bon mais parfois on est trop endormis pour en être conscient.  Disont qu'ici vous avez pas affaire à Jean Genet, j'aime pas le mal, le faire, le fer. Je pense aux scarificateurs à ces marques infligés à dessein au fer chaud, marqué comme du bétail, une trace unique pour être identifié une fois mort. Parfois les gens croient qu'ils sont de la viande, des cannibales, des antropophages... On iras pas voir Lévy-Strauss. Semble que Baudelaire étais pas lu de son vivant, faut pas que j'en demande trop deux ou trois lecteurs la nuit quand le désespoir de l'insomnie nous touche et qu'on a que ça a faire. Lire sur la machine... Y'a un type qui a arraché une branche dans l'arbre en face d'après moi trop pauvre pour s'acheter du tabac il va fumer une feuille... Bon! On va faire comme si c'étais un terminus inconnus essayé de s'orienter malgré qu'on ne trouve pas d'indication pour le goulag occidental. Faut pas s'énerver juste sortir dehors et demandé à un vrai chauffeur de taxi haïtien, ils connaissent tout les bas fonds, tout les lieux de perditions mais ne montez pas dans le taxi il risque de vous faire tourner en rond. Quoi que présentement c'est moi qui tourne en rond, je fait aussi du sur place sur ma chaise je regarde à gauche, à droite, devant, derrière et tout ce que je vais faire c'est terminer en me cognant le nez dans le mur. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

samedi 23 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout dans la nuit du goulag occidental. Les murs de la salle de bain suintent et je reste incapable de faire le ménage, l'oncle disait que je pouvais plus me torcher, c'est vrai mais lui non plus peux plus se torcher il est décédé. Je vous raconterai pas mes années comme préposé à l'entretien ménager, c'étais d'une platitude, le temps étais long.Il est trois heure vingt quatre l'heure de sortie des bars on se cherche un open house, un after hour remplis de sales gueules qui n'attendent que d'enfiler le whisky qui reste dans la pièce. Je me souviens pour aller veiller certains apportaient, un dix onces, un fiasque, un mickey c'étais quand même assez pour se saouler. J'entend le tic tac du pendule pense aux musiciens qui viennent de finir,ils ont les oreilles qui sillent. Moi j'avais la tête dans le haut-parleur ça tuais les voix mais je suis devenus acouphène.Non! Non! C'est pas la fin, je retournerai me coucher quand j'aurai finis.J'ai un compte rendu du groupe d'entraide a rédiger et ce que je vous raconte là c'est un peu le compte rendu de la nuit qui passe au rythme des voitures. Pas très loin du goulag ils ont régulé que les commerces pourront rester ouvert vingt quatre heure. Je vois déjà les gens saouls dans les boutiques en train de remplir leurs cartes de crédit.Je pense au défunt Lola's paradise et son comptoir remplis de vaches miniatures. L'odeur là dedans c'était terrible à l'époque un mélange de sueur de tabac et d'alcool. Les bums cruisaient pour attraper des saletées. Surtout vous êtes mieux de faire vos besoins dehors dans les cafés ouvert vingt-quatre heures les toilettes débordent souvent de merde. C'est ça le night life la devanture est belle mais l'arrière est dégoutant. J'ai une toune du groupe Offenbach dans la tête, "Ça fait trop longtemps que tu passe en dedans à soère on se met sur le shift de nuitte, deux autre bières! Deux autre bières!"  J'ai vu à la télé que Portland Oregon était la ville avec le plus de micro-brasseries, belle gang de saoulons. Ça en dis gros sur leur mode de vie écolo, alcoolo. Les images montraient une ville qui avait pas l'air finis. Y'a rien de pire que de cacher la misère sous des aspects cool, on veux pas la voir et on se donne bonne conscience, Moi je donnerais pas le bon Dieu sans confession aux gens que j'ai vu dans cette émission. Voilà! Je sais pas si vous êtes tanné de me lire mais je termine ici en vous remerciant d'avoir lu. À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 21 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir, vous me voyez venir, je suis vide. La voisine a fait un beau jardin devant l'édifice. Moi j'ai juste envie de prendre l'avion pour partir je ne sais où: Je suis désolé de voir les crimes sur les monuments en Syrie. L'état islamique c'est des barbares... Au goulag occidental on est pas riches mais on détruit pas de monuments. Y'a longtemps que j'ai pleuré, je me souviens d'avoir pleuré longtemps dans la cent trente neuf Pie IX personne s'occupait de moi. J'arrive pas a dormir. Je pense aux copains avec qui je travaillait la nuit en écoutant du heavy métal. Je prend mon temps pour écrire ça,me suis fait un café. Je sais maintenant que dans la boîte de poissons panés y' a sept morceaux. Un morceau c'est le mot qui désigne une arme à feu dans le monde interlope, une arme de poing. J'ai pas d'histoire différente a raconter, je rencontre pas assez de gens. Le pire c'est que je fait même pas dans l'alimentaire mon blog me nourris pas, ai répondus à un sondage, ils savent plusieurs choses sur moi pour un paranoïaque c'est pas très bon. Cette semaine j'ai eu une réunion avec la présidente directeur général adjointe du CIUSSS de l'est de Montréal. Elle est très sympathique, elle se rappelle des choses que j'ai raconté dans mes présentations. La semaine prochaine je parle aux patients des troubles psychotique, j'ai hate c'est une nouvelle expérience. Je vais pas là pour faire des promesses se rétablir ça prend du temps. Les policiers sirène hurlantes ont pris le sens unique à contre-sens. Cette nuit ça sent la mouffette.Lentement la nuit avance pour plusieur c'étais le jour de paye, les brasseries et les bars se sont remplis. Demain à la pause ont va payer l'ardoise de la cantine mobile, les sous marins chauds et les pâtés à la viande, après ça recommence tu le met sur l'ardoise, j'ai plus d'argent et je te paye la semaine prochaine alors ont continuais a trimer pour quelques dollars. Je me souviens d'avoir piqué la poudre à bouillon de poulet de ma mère. Je l'ai ramené très vite mais parfois elle achetait des langues dans le vinaigre et des oeufs Ha oui! Hier un chercheur m'a dis que j'étais une sorte d'écrivain en résidence à l'institut que j'étais habillé comme un écrivain. Mal habillé? Bien habillé? Je sais pas, de toute façon je fait pas de parade de mode. Malgré tout j'arrive toujours a vous en pondre un.Peut être qu'un jour je vous parlerai plus de rétablissement de patients-partenaire. Je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 19 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir j'ai de la peine j'arrive plus a faire le ménage. Je ramasse à un bout pour après retourner ramassé à l'autre bout. Ça traîne partout, venez pas chez nous une vraie soue mais je tiens la salle de bain propre. Le goulag occidental est ensoleillé ce soir. Y'a ces entrepreneurs qui font de l'argent avec nos guenilles je sais plus ou me débarrassé des miennes. J'ai chaud j'attend que le soleil se couche. Ai répondu à un sondage, mais oui, mais oui! Je suis de gauche ça me fait pas plaisir de voir des gens couchez dehors. Cette nuit je crois que ceux qui couchent dehors vont avoir une petite pause. J'aimerais avoir l'histoire de chaque itinérants voir ou elle ressemble à la mienne. Je vous dirai pas que je suis rendu là parce que j'ai été malade. J'aime pas me défendre avec la maladie quoi que la folie ça donne pas tellement de choix mais je vous ai déjà raconté ça je crois. Je me suis échoué, comme dirais un marin, dans le goulag occidental. J'essais de me souvenir de quelqu'un à la télé qui parlait de liberté, une itinérante je crois qui n'étais pas libre de boire de l'alcool et se berçais d'illusions. Quand t'est dehors t'a un impôt a payer au shylock à celui a qui tu a emprunté de l'argent pour assouvir tes mauvaises habitudes. Parfois tu dois vraiment te battre, c'est dur sans parler du langage d'une sorte de tribu urbaine, crû... Là je cherche quoi vous raconter parfois vous êtes des centaines a cliquer, d'autre fois pas même une dizaine. Renaud-Bray a acheter Archambault les profits des livres vont tous aller au même endroit. J'essais de réfléchir a une façon de faire lire plus, mon blog en est une je crois mais vous allez dire que c'est pas de la vrai littérature soit! Allez acheter un Charles Bukowsky que vous lirez en sirotant votre bouteille de vin du début du mois et après si vous êtes chanceux vous pourrez vendre le livre pour vous acheter une énorme canette de bière et vous croirez plus à rien. La dépression alcoolique vous êtes pas d'humeur égale et cette immense solitude a traîné sur le trottoir, a essayer de rencontrer quelqu'un dans un bar quand on sait bien que les gens sont pas là pour parler mais pour boire. Je sais pas comme toujours comment terminer ça, vous devez me trouver irritant irritable. Je fait ce que je peux avec ce que j'ai. J'arrête ici je pense que je vais continuer a ramasser un peu de ménage. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard
 

P.S. Un lecteur m'a demandé que la photo s'accorde avec le texte voilà!!!

dimanche 17 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est le quarantième anniversaire de mariage d'un couple de mes lecteurs de l'outaouais. Je suis très fier d'eux ils montrent que c'est possible... Moi je suis pas un exemple pour la vie de couple, faut croire que je suis pas fait pour ça,  mon ancienne vie turbulente ne m'a pas mené là. Aujourd'hui il fait très beau dans le goulag occidental j'en ai profité pour lire assis sur un banc de parc, dehors les chiens jappent. C'est la fête des Patriotes demain, l'indépendance j'y crois plus beaucoup. Je sais pas si on m'aiderais plus dans un pays indépendant pour moi Péladeau c'est un peu un baise la piasse. Les québéquois aiment bien les histoires à succès faut jamais oublier qu'il a hérité de son père quand même je saurais pas comment gérer ça autant d'argent. Ce soir je suis pas très poétique ni pragmatique, madame David et Québec Solidaire ont pas a s'inquiéter ils vont avoir mon vote. C'est rare que je dis pour qui je vote mais je laisserais bien le pays dans les mains de Madame David, les grecs l'ont fait pourquoi pas nous, à gauche toujours à gauche. Je sais parfois c'est de l'ordre de l'utopie et y'a pas la moitié des électeurs qui sait ce qu'est une utopie. Quand j'avais une question mon psychiatre me répondait d'aller à la bibliothèque, c'était une bonne réponse... Je me demande si dans un Québec indépendant les personnes du troisième âge seraient bien traitées? Je pourrais prendre ma douche plus qu'une fois? On changerais ma couche quand j'en aurais besoin? Je pose ces questions là parce que je vieillis pour l'instant ça va mais plus tard? Je viens de parler avec la matriarche elle se porte mieux, c'est bien, on a parlé voyage à New-York comment c'étais cher quand on fait le voyage seul... J'irai quand même un jour en évitant les boui-boui à alcool, j'écris boui-boui parce que cette ville on m'a dis que c'était une sorte de jungle. Dehors dans le parc pendant que le soleil se couche, les enfants crient et s'amusent, la circulation automobile est tranquille. Je crois qu'il y en a plusieurs qui profitent de cette longue fin de semaine pour ouvrir le chalet. Je sais pas si dans le goulag occidental y'a beaucoup de propriétaires de chalets. Je pense aux embouteillages de voitures aux travaux qu'ils font sur les routes, c'est toujours le même discours. Je vieillis et je radote. La voisine se promène sur la passerelle je crois que c'est une disciple des gratteux, une accrochée au jeu. J'en parle pas plus pas de médisance. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 16 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'ai regardé le prix hôtel et avion pour deux semaines en Polynésie française cet hiver, douze mille dollars disont qu'on va laisser faire!!! Aujourd'hui c'est nuageux sur le goulag occidental mais il fait doux. Je m'énerverai plus avec le hockey le Canadien a été éliminé.  Je regarde la télé en me cherchant une destination, j'aime bien l'émission Ports d'attache hier c'étais sur Budapest et avant y'avait Thalassa  la Croatie une autre méditerranée, la mer Adriatique, ça m'a rappelé mon court séjour à Trieste qui donnait sur cette mer. J'ai souvenir aussi de ce restaurant typique avec des viandes froides délicieuses qu'on se partageait sans assiette. La mer, je pense à ces réfugiés Syriens qui se perdent en méditerrannée, c'est dur de voir ça tout près des bâteaux de croisières de luxe, la faim, la misère en espérant trouver accueil en Europe en ayant rien a perdre. Y'a quelques années j'ai eu comme voisin un Serbe qui était entré au pays dans un container, à son arrivée séjour à l'hôpital pour ensuite être déporté. Cet après-midi dans le goulag occidental... Je sais, je sais je fait honte a mes concitoyens en appelant mon quartier le goulag, la vie y est plus facile qu'en Ukraine mais pour moi c'est quand même une sorte d'exil sur la terre des hommes. Donc dans le goulag y'a des voitures et des motos qui ronronnent. Je crois qu'ils vont faire les lignes de démarcation du terrain de football en face. La fenêtre est ouverte c'est bruyant... Je veux pas sortir j'économise, je vais me préparer des côtes de porc à l'ail, une recette maison. À la télé un documentaire sur le débarquement en mille neuf cent quarante quatre ça fait deux fois qu'ils le passent. Je pense aux camps de concentration, me demande comment il faisait pour garder espoir. Ils ont été libéré mais j'oublie pas la Palestine aujourd'hui. Je sais c'est délicat d'écrire là dessus, l'État Islamique c'est quand même des barbares qui n'ont aucun respect pour la culture et je dirais pour la vie. Ne mélangez pas la Palestine et l'état islamique. À une certaine époque y'avait l'OLP et en Italie les brigades rouge, le terrorisme c'est pas nouveau disont que c'est sur une autre échelle. J'ai un peu peur de vous écrire ça c'est un sujet délicat je viens de l'écrire, j'espère quand même la paix, chanceux de vivre ici, pauvre mais en paix, parfois la terreur m'habite mais je ne dois pas la laissée m'emporter. J'espère que je ne vous ai pas fait mal. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 14 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour sur le shift de nuit.J'ai dormis au frais la fenêtre ouverte.Je vais essayer de vous dire comment je me sent ce matin. Je pense à cette femme avec qui j'ai habité quatre ans ou j'ai dormis au bord du lit la fenêtre ouverte l'hiver il faisait froid.Je sent une urgence d'écrire. Je me suis couché pour aussitôt me relever.Je pense a m'acheter des bottines de randonnées mais je marche plus beaucoup ce serait pas très utile. Depuis que je me suis fait voler une tablette électronique j'ai peur des jeunes noir.J'ai faim, je veux pas manger ça va m'endormir pourtant je mange des LU chocolat au lait. Il est quatre heure quart tout le monde dort.Je veux plus jamais partager mon lit, je ne dors que seul.Je fait le tri dans tout ce qui passe dans ma tête cherche ce qui pourrait vous intéresser. Dans la journée ensoleiilé je pense toujours à mon dernier voyage. J'ai toujours envie de repartir peut être à New-York pour visiter le Guggenheim mais j'ai surtout envie d'être à l'aéroport de prendre l'avion, je radote je vous ai déjà raconter ça, c'est une obsession l'avion.  "Gimme a ticket for an aeroplane, I aint got time to take a faster train, lonely days are gone, i am going home, my baby wrote me a letter" une vieille chanson pop que le regretté Joe Cocker chantais je crois. J'y arrive, j'y arrive à mon état d'esprit, les couilles sur une chaise en bois. En voyage y'avait les bananiers, la canne à sucre mais on voyait personne y travailler.Ai pelé une orange, un bon parfum, je l'ai mangé en pensant à l'urinoir de Duchamp quoi que le matin on pense surtout à la pipe de Magritte. Bon! L'absurde l'orange étais juteuse mais on s'en fout c'est pas un ready made que je vous écris là c'est difficile d'écrire sans sens, sent, cent. Quand je vais finir d'écrire ce texte je veux me sentir bien, bien comme quand je suis assis à la terrasse d'un bistro à Paris et que je sirote un café en regardant les gens passé. Ce matin je suis loin du goulag occidental, je suis dans les souvenirs de Paris. Je me demande combien y'a de gens malheureux qui bossent en France quand j'y vais je suis toujours en vacance. Je vois pas le mal de la galère. Je me suis éloigné de mon sentis j'entend une voiture, il klaxonne. Bientôt six heure ce seras le départ pour le boulot, allez se faire suer pour quelques dollars qui ne payent même pas le beurre, les sandwichs au pain tranché tout les midis quelle horreur!!! En attendant je vous laisse réfléchir et je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 12 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai fait un court partage devant des étudiants du secondaire.Je leurs ai bien signifié qu'il faut demandé de l'aide, c'est ça la force, quand on a un problème. J'étais loin du goulag dans une école secondaire de banlieue du genre que j'ai fréquenté. Beaucoup de monde des cris et des courses dans les corridors, des cases aussi des étudiants qui finissent leurs devoirs par terre. Des souvenirs à l'époque on s'assoyait dans les escaliers et on regardait passé les filles. Adolescent!!! Les hormones dans le tapis et ça faisait mal cette grande solitude de teenager. On a eu droit aux courts métrages magnifique d'un adolescent qui se questionne. J'ai bien aimé c'est venue me chercher dans mon adulescence. J'ai raconté ma peur ma paranoïa et ces gens qui sifflent ou chantent des choses qui on pas de sens quand je passe. Je vais dire comme on m'a dis faut pas que je le prenne personnel. Le soleil et la chaleur sont de retour. Je reviens à mon sentis qui est pas celui d'un homme de cinquante huit ans tout à coup je me rappelle que j'étais préposé à l'entretien ménager dans une école secondaire du sud de Montréal. Je détestais ça en plus fallait tuer les souris dans la cuisine, un coup de pied et elles crevaient. Je pense qu'aujourd'hui j'ai une vie intéressante au contraire du temps ou je psychosais ou je consommais habité par le ressentiment. J'étais perdus dans ces mondes là, aujourd'hui mon travail je me le donne c'est vous écrire ceci, ça peux vous apparaitre puéril soit! On est dans une société de chiffres et de comptables les mots ont jamais eu d'importance pourtant c'est avec le dire qu'on se rétablis pas en passant le balai. Une jeune étudiante trouvais que j'étais un malade mental léger je crois que mon message a pas passé pour elle, la lourdeur, la douleur, la souffrance intense j'ai pas réussis à la communiquer çe seras pour une prochaine fois. Je sais pour vous je suis pas fréquentable vous préférez les avocats , les professionnels et les artistes connus faute de prestige vous allez en chercher chez les autres quand j'écris ça je pense pas à mes proches mais a des amis abandonnés.Les chiens s'amusent dans le parc, l'après midi avance lentement, le vent souffle et je vous ai pas monté de bateau, j'essais d'être vrai, authentique ici aussi. Il est trop tard pour faire de la bullshit avec ça c'est la preuve que j'abandonne pas. Je continus mon écriture mais pour l'instant je termine comme ça. Merci d'avoir lu juqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 10 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai regardé les actualités, le président Hollande en Guadeloupe inaugurais le mémorial ACTe pour rappeler la barbare traite des noirs. J'ose pas en parler plus je suis pas noir et je pense aux américains qui n'ont guère évolués. Parfois je pense aux routes sinueuses de la Guadeloupe en bord de mer... Je pense a recommencer ma vie ailleurs loin du goulag occidental, c'est qu'une chimère j'ai cinquante huit ans bientôt cinquante neuf et ma vie dans l'ensemble est bien.Ces jours ci la météo me rappelle mon séjour dans les Antilles. Je sais pas quand je vais repartir mais je vais le faire, avoir du plaisir a attendre l'avion à l'aéroport et faire un long vol pour une destination inconnue.Je ne sais si parmis mes lecteurs-trices y'a des fans de hockey mais hier on a eu un bon match, on a gagné, tout les espoirs sont permis. Présentement je lis Bergson un philosophe prix Nobel des années vingt. Je comprend rien mais je saisis des bribes de texte qui me parlent, les passages en grec et l'arithméthique physique, très peu pour moi pourtant j'approche de la fin du livre "Si tu pense le néant, y'en a pas parce que tu le pense" comment écrire "la pensée viens avant le néant". Je potache, je potache c'est pas sérieux pour un homme de mon age. Demain matin plusieurs d'entre vous rentrez au boulot. Je crois que cette température incite a préparer les vacances. Y'a des nuages noir au nord du goulag occidental, des orages, lentement le temps se rafraichis. Tout à l'heure y'avait un détecteur de fumée qui n'arrêtais pas, on mange des grillades? Les voitures circulent lentement, je sais pas si c'est parce que c'est dimanche. Cette phrase là elle est pas terrible, parfois je m'égare... Dans le parc y'a des mamans avec les enfants, elles les photographient. Je pense aux mères qui me lisent je leurs souhaite bonne fête. Quand je vous écris comme ça, ça transforme les voix de ma schizophrénie en texte, en mots que j'épellent et qui me laissent une pause lettres après lettres. Je pense à un petit neveu qui a de la difficulté a dormir me disait sa grand-mère, il préfère lire des bandes dessinées comment écrire qu'il connais l'angoisse si jeune mais il a une bonne mère pour l'instant c'est suffisant. Moi aussi j'aimais bien rester au lit et lire je préférais ça à la télévision, je sais pas pourquoi, les couleurs? À l'époque la télé était en noir et blanc. Je vous laisse là dessus, j'espère que j'ai blessé personne merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 8 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Peut être que vous êtes pas d'accord avec le nom de goulag occidental. Je le répète c'est l'exil à l'ombre de Parthenais. Un exil dans un endroit ou on meurt intoxiqué au gaz des automobiles et des camions. Les services pour les pauvres sont tous ici, la pauvreté nous unis... C'est mal partis ce matin pourtant il fait beau temps.Je raconte toujours la même histoire j'en ai qu'une c'est ma vie. Hier j'ai fait le livre vivant et j'ai rencontré des gens très sympathique. J'ai beaucoup apprécié la conversation avec la pair-aidante famille avec le staticticien aussi. Je me suis sentis privilégié de partager avec ces gens là. Je devrais pas dire ces gens là ce sont mes pairs ouvert d'esprit.Je mange une pomme, encore une fois magnifique journée,ce soir je vais souper au restaurant avec ma soeur, je sais pas quel resto, je cherche... J'attend le facteur j'espère que j'ai du courrier, au goulag occidental on a encore les services du facteur. Je crois que si ils installaient des boîtes elles se feraient démolir. Hier matin toutes les personnes que j'ai rencontré étaient gentilles. Quand je suis sortis dîner j'avais un sentiment de bien-être de plénitude comme j'en ai pas souvent je le dois à tout ceux qui valorisent mon expérience. Y'a des moments comme ça dans la vie on voudrais qu'ils durent tout le temps. Je sais pas si je peux désigner ce que je vie ce matin comme de la sérénité mais ça dois ressembler un peu à ça. Les arbres, leurs feuilles, parure de vert réjouissante, l'espérance, la vie qui renait, la vie qui reviens après une longue descente grise. Je sais pas si vous avez remarqué, j'essais de faire l'écrivain, le poête, c'est pas vraiment la meilleure façon d'écrire faut que j'y aille avec ce que je ressent. Aujourd'hui je vous écris en plein jour et je fait rire les chauffeurs de taxi. Une amie disait que valait mieux être comptable que poête, les poêtes on a pas besoin de ça, Surtout quand ils sont incapables d'écrire le mot poète avec le bon accent. C'est poète... Quand aux comptables ils me mystifient avec les chiffres. Ça vie, ça vie dans le goulag occidental, les cyclistes, les marcheurs, les joggeurs et la circulation automobile, j'oublie pas les motos et je me rétablis dans tout ça, je vie moi aussi. J'aime bien les jeunes filles en robe d'été... Je pense à vous les amis qui m'entourent, je suis content de vous connaitre, heureux, j'en ai assez écris pour cet après midi. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 5 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Semaine de la santé mentale au Québec ainsi qu'au goulag occidental. Je participe au journées de la santé mentale, parfois j'ai l'impression que plusieurs carburent au ressentiment à la haine de l'électrochoc. J'écrirai pas longtemps là dessus je connais pas ça, par contre je me suis reconnus dans la tension du directeur de la santé mentale. Ce soir c'est ensoleillé, j'ai pas envie de me flageller de m'auto-dénigrer. Je fait de mon mieux et j'ai pas envie d'empêcher les gens d'être heureux. J'essais de faire oeuvre, je crois pas que je trouverai un éditeur. Je lisais justement dans un article que les gens ne lisaient pas, à quoi bon? Je vous les donne mes textes ils sont sans génie mais y'a que ça que je connais. Je lis beaucoup ça me permet d'entré dans d'autres univers. Je sais y'a des gens qui préfèrent le monde en chair et en os mais moi j'ai peur de mes pairs, de mes pareils. Je pense au changement dans le système de santé et de services sociaux, j'espère que mes amis vont y trouver leurs places J'aimerais bien avoir du génie mais ici il s'agit plus de transpiration et ça ce sont les mots entendus cent fois à gauche et à droite. Lentement le vent tombe, le soleil descend la nuit va bientôt s'installer. Il fait un peu plus chaud mais pour l'avoir fait c'est pas évident de coucher dehors dans le gazon humide de se réveiller dans la rosée. Mais oui! Vous pouvez rire! J'ai pas le sens de l'humour j'arrive jamais a écrire une bonne blague, je crois que c'est une maladie.J'ai une quête ça s'apparente a soigner mon âme, a ne pas me faire mal mais pourtant j'apprend de tout ça. Ça sonne psycho-pop j'aime pas tellement ça je crois que les gens sont beaucoup plus complexe que ça. Devant l'édifice dans la rue ils font toujours des travaux, c'est long heureusement ils travaillent pas la nuit. J'entend la sonnerie de ma tablette électronique c'est peut être vous qui m'écrivez, n'hésitez pas et je suis désolé on donne pas dans la pornographie. Pourtant j'écris et j'arrive toujours dans une impasse. Je dis bonjour à la gentille lectrice qui est venue me saluer aujourd'hui c'est vraiment apprécié cette rencontre.Dehors les balançoires grincent, les enfants jouent c'est vraiment le printemps il étais temps. Je sais pas si vous comprenez mon truc mais moi j'y prend plaisir. Un jour à la fois je crois construire quelque chose, ça me fait du bien. J'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 3 mai 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris en attendant le match, ce soir le goulag occidental se donne des airs de Guadeloupe, c'est magnifique! Soudain j'ai une chanson dans la tête "Pourquoi donc a tu brisé mon coeur" Je me souviens plus qui chantais ça, c'est vieux... J'écoute ce qui se passe dans mon âme, j'ai pas mal me suis fait un café et pense à mon lecteur joueur de pétanque, sa saison va surement commencée. Y'a toujours cette saudite solitude, je m'arrange bien avec mais parfois j'aimerais bien avoir quelqu'un dans ma vie. C'est pas que je m'ennuie mais... Attendre les amis qui me téléphonent en vous écrivant. C'est ce côté de la solitude que j'aime, je fais ce que je veux quand je veux et y'a des choses qu'avec l'expérience j'ai rayé de ma vie, ça va mieux ainsi. Je me tiens quand même toujours sur mes gardes, j'essais de pas piquer de colère, je m'excuse auprès des employés de Bell Canada parfois je deviens impatient et comme on dis "Tout viens à point à qui sait attendre" une vrai bonne vieille maxime. Je pense toujours à un voyage je ne sais où, j'ai un peu peur avec ce qui s'est passé au Népal. Hier j'ai vu dans LaPresse+ qu'il y avait de beaux sentiers pour marcher à Vancouver. Je sais pas si mon ami fonctionnaire à Ottawa me lis encore, peut-être qu'il pourrait m'en parler? Je vais peut être attendre à l'hiver prochain et aller trempé mes pieds dans le sud. Je répète encore que ce soir c'est une belle soirée pour se faire un feu et je sais très bien que mon designer retraité aime pas ça, c'est vrai que le feu c'est un peu le retour de l'homme des cavernes. C'est Ferland qui chantais "Montréal est une femme" le goulag occidental c'est le fils de cette femme, le goulag mal en point, désemparé, maman l'a laissé. Dans le goulag occidental sur Ontario y'a le café Touski un repaire d'anarchiste ou ça discute fort. Sur Frontenac y'a la maison Normand Bethune ce sont les communistes parfois je me demande quand l'être humain va changer et parler d'autre chose que le capital. Tout ça pour dire qu'on admire les fortunés et on oublie Saint-François. "La maudite machine qui ma avalée à marche en Kâline faudrait la cassée"-Pierre Flynn. J'ai pas grand chose a dire je sort les vieux hits d'Octobre même si Flynn viens d'en sortir un nouveau. Ouais!!! Je manque d'inspiration je vous sort les vieilles affaires je me répète. Enfin! Si vous voulez  la vérité je vais regarder le match des millionnaires en patins. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 2 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'ai vu sur le web que mon lecteur de deux montagnes est maintenant propriétaire d'un jeep, un vrai de vrai pour jouer dans la bouette.Étrangement je pense à la PDGA du CIUSSS de l'est-de-l'île-de-Montréal. Je sais pas si elle a le temps de me lire,enfin de toute façon je la salut. Le goulag est tranquille cette nuit.J'essais de vous imaginer des choses incroyables que je pourrais écrire mais je reste dans le quotidien c'est plus fort que moi.Y'a aussi ce grand oncle Rolland Allard qui avait une ferme à Sainte-Jeanne-d'Arc au Lac Saint-Jean. J'y ai passé quelques jours dans mon enfance ça été un séjour marquant. J'aimais pas les vaches par contre l'odeur d'une étable m'attirait. Je sais pas ou je vais avec ça c'est un peu Bernard à la ferme. J'avais peur que mes parents me laissent là j'en ai pleuré un coup. J'étais trop petit pour installer la trayeuse sur une vache c'est tout ce que j'ai connu de l'agriculture ça m'a pas donné envie d'être cultivateur. Bon! Je reviens dans le goulag occidental et j'oublie les quotas de lait, on produisait pas à volonté... Les cols bleu ont installé une énorme plaque de métal au dessus d'un trou qu'ils ont creusé dans la chaussée. L'autobus arrête plus devant chez moi. Ha oui!!! J'ai oublié de vous dire hier j'ai préparé un rôti de boeuf à la provençale il était excellent. Ça allait mal cette nuit la connection internet a planté maintenant tout est revenus.Je suis retourné au lit et j'y ai pas trop pensé. Ce matin il fait très beau enfin, vous vous demandez surement ce que je fait chez moi, j'ai lu LaPresse+.Les principaux dossiers. J'ai retenu qu'il y avait maintenant un bateau de croisières sur la Loire, un peu cher mais ça semble intéressant.Dans les actualités ils ont écris sur la place que les femmes manifestantes veulent prendre. Je pense aux Femens un peu partout dans le monde, j'ai comme l'impression que le combat seras long, le militantisme féministe est bi-pôlaire selon moi, ça passe par des vagues à chaque décennies des hauts et des bas, maintenant on est dans une période haute, active... Ciel bleu, grand soleil des journées comme ça on a rien a envier aux Antilles. Les pousses de fleurs commencent a sortir. Je sais plus trop quoi vous écrire, les gens ont mis leurs bermudas, on entend la sirène de l'ambulance, c'est une trop belle journée pour tomber malade. J'ai plus grand chose a écrire faut que je m'en garde un peu pour les prochains post. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard