dimanche 22 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il a neigé et je suis comme paralysé d'écriture. Y'a une activité de bowling familial cet après-midi. Donc je sors du minuscule goulag occidental. J'ai dormis me suis rasé et douché. Au bowling je crois qu'on va rigoler.Toute la famille va être là. J'ai regardé les actualités, rien retenus sauf le sordide des premières comparution en cours. La justice faut se tenir loin de ça, faire de notre mieux chaque jour en espérant que tout iras bien. C'est dimanche un jour de recueillement. Je pense aux amis français de France. Dehors tout est blanc, en France y'a eu de la neige dans la région Rhones-Alpes, au retour des vacances la circulation étais paralysé, ils devaient installé des chaînes aux roues de leurs voitures. Chambéry, Annecy, j'y suis déjà allé c'est une très belle région. Je me souviens très bien de la fontaine des éléphants à Chambéry, j'ai aussi pris le transport en commun avec les écoliers. Je suis aussi allé à Albertville à l'époque ils se préparaient pour les jeux olympiques c'étais sympathique. Je crois qu'aujourd'hui le temps est plus doux. Je regarde France Vingt quatre c'est une vision différente de l'actualité. Je sais, je sais vous êtes très critique pour les journals télévisés. Avec les horreurs qui se passent faut bien choisir nos informations.La France on l'a toute en image sur le net mais rien ne vaux le vrai, le vrai Paris ou le vrai terroir. Je pense aussi aux canaux de Annecy... Sur un autre plan j'aimerais pas retomber dans le plus intense de la maladie, je crois faire ce qu'il faut, vous allez me trouver fatigant mais je prie beaucoup et j'écris ça me soutiens. Je suis francophile, j'aime la France, c'est tout de même ma langue maternelle. Remarquez quand je regarde les actualités et qu'ils montrent des mares de sang c'est difficile. À la télé de l'agro-écologie en Périgord sur de la musique manouche. Le dimanche c'est le jour du seigneur, le jour de l'agriculteur là-bas comme ici. Je vous écrirai pas sur l'agriculture française ni sur le vin. J'y connais rien je suis un urbain quand au vin j'en bois plus. On dirais que le soleil veux percé, au travers des nuages on vois un peu de ciel bleu Je sais pas trop comme toujours comment vous terminer ça, la machine me demande des mots, des phrases je lui en donne et les partage avec vous. Je sais bien qu'on écris bien que sur son pays, le Québec m'a refoulé dans le goulag occidental, on y crève pas de faim c'est plutôt un goulag moral, mais a bien y pensé c'est pas si mal, j'ai choisi mon exil. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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