samedi 18 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Binsoir! Ai faillis me tuer en perdant l'équilibre sur  une chaise, C'est samedi jour de congé pour plusieur mais autour de moi y'a de plus en plus de retraités. J'écoute mon âme encore endormie.C'est tranquille dans le goulag cette nuit, je crois qu'ils veulent créer une psychose avec le virus Ebola au Kénada y'a pas de vols de ces pays là. La guerre en Syrie, le virus dans le Sierra Leone ça fait beaucoup d'aide pour l'Afrique, quand je vois les images à la télé je me demande pourquoi la misère s'acharne sur le pauvre monde. Rien a dire sur le trekking dans l'himalaya ce sont les risques de la chose, c'est beau mais c'est dangeureux. J'ai la rédaction très lente aujourd'hui. Pour mon lecteur designer retraité c'est de Gauguin que je lui parlais au téléphone. Me prépare un café, c'est comme si j'envoyais mon âme dans le cyberespace.Je m'écoute pas j'arrive pas a me calmer c'est la nuit... Je pense aux vieilles pochettes de disques trente trois tours des objets fétiches, voilà j'ai mon café.Les gens de la nuit ne se respectent pas beaucoup ils jurent en français et en anglais, manque d'estime d'eux même.J'espère que Boko Haram va libérer les jeunes filles... Ou va tu fils? Je sais pas ma guerre est dans ma tête vous devez être tanné d'en entendre parler, j'essais de construire à partir de cette foule de voix en me souvenant de cette peur quand j'ai réalisé que ce serait toujours là. L'angoisse extrême qui se transforme en paroles dénigrantes pour l'instant c'est tranquille le fou tiens ses voix muettes..Plein de choses qui se passe que je dirige que je disqualifie, la nuit ne me parle plus... Je pense à ces niaiseries de vapoteuses de la boucane ça reste de la boucane un corps étrangers. Cette nuit j'essais de faire de mon mieux me souviens de cette amie qui détestais quand je restais debout la nuit. "J'ai mal à l'amour j'ai mal dans les yeux, et si on se perd prend garde aux adieu" Isabelle Boulay. Ma méthode commence a être connue et oui je suis hypersensible et tout les défauts qui vont avec... Je pense à toutes les nuits passées dehors a me chercher une amie, les filles sérieuses passent pas le week-end à se saouler dans des bars de seconde zone parfois j'en rencontrais une mais c'étais seulement pour une nuit et les morpions qui allaient avec. Bon là c'est la dernière ligne c'est pas fort cette nuit, redondant, je répète les mêmes choses mais de l'écrire ça m'aide. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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