lundi 1 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Puisque j'y suis pourquoi pas en écrire un autre.C'est pas simple ce matin plusieur d'entre vous sont en congé de la fête du travail. Étrange que ce jour là soit chômé.Je vous écris ça tout lentement dans le calme de la nuit. J'ai une pensée pour les ukrainiens et pour les Syriens.Je souhaite que notre pays connaissent jamais la guerre même après le secret de Fatima "Pauvre Canada!". C'est un secret j'en invente. Retour au menu détail, j'ai mal à l'estomac. Je mange pas bien, J'essais de m'écouter me semble que je vous ai déjà tout raconté, on salut un lecteur de la région de Lanaudières. J'ai passé beaucoup de temps hospitalisé par ma volonté à l'hôpital de Joliette, eux ils avaient décidé que j'étais pas malades et m'ont laissé partir avec de vieux sous vêtements. Je me rappelle d'un patient qui écoutais le baseball sur sa radio transistor.Je pense à la quête de Brel. à l'inaccessible étoile, un impossible rêve c'est émouvant et je bûche. Je bûche en essayant malgré tout d'être ça un écrivain... L'autobus de nuit passe elle est vide peut être qu'un écarté vas y monter pour se rendre dans un quartier périphérique. Je pense à l'escouade de la moralité du maire Drapeau aux descentes dans le quartier gay, la faune nocturne j'en ai longtemps fait partie. La nuit se prête bien à tout les ébats, j'entend la musique latino au centre ville pour entré dans ces clubs là fallait montré patte blanche et être bien habillé quoi que avec quelques dollars le portier laissait passé."C'est une frangine potoricaine qui vie dans le spanish Harlem" - Bernard Lavillier, l'ancien truckeur en amérique du sud. J'aimait bien danser la salsa avec une jolie sud-américaine ce sont les seules femmes qui ne m'ont jamais refusé un pas de danse. Je me fait tout un cinéma c'est pas un plan américain vous verrez pas mon gros nez dans ce blog. Y'a ce brandy nose du commentateur sportif qui a été arrêté pour conduite en état d'ivresse. Étrange les médias n'en parlent plus, on lui sauve la peau. J'aimerais bien m'installer avec un ivresseomètre à la sortie de quelques tournois de golf...Je suis pas très très gentil cette nuit. Tout ça se passe dans ma tête, en réalité ici c'est tranquille presque mort, y'a que mes neurones qui s'agitent. Y'a mon lecteur de Repentigny qui disait que la drogue restait quatre vingt dix neuf ans dans le corps c'est faux les drogues dures disparaissent très vite mais le pot reste longtemps dans le gras du corps et le sevrage de l'alcool est très long.C'est difficile d'écrire sans blesser personne sans alimenter une polémique ne serait-ce que la niaiserie du rédacteur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

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