samedi 26 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens maintenant, Je souffre d'insomnie. À Rédio-Kénada c'est une émission sur les poètes, surtout Vigneault ses prix et ses médailles.J'essais de lui en donner à la poésie mais elle rend pas beaucoup.Vous me direz un poète auto-proclamé ça n'a pas de sens maintenant tout le monde peut écrire et s'éditer sur cette machine. J'ai pas le cul sur le cap Diamant, j'ai le cul dans le goulag occidental en écoutant toujours les mêmes maîtres comme si y'avait qu'eux. C'est une mauvaise tournure de phrase.Il est une heure vingt six j'aurais tout le temps de me rendre au bar et de boire avec ceux qui reste. C'étais ma vie d'avant ou je couchais avec n'importe quelle poufiasse, est venu un temps ou le désir n'y étais plus. Je voulais juste boire m'abrutir pour rentrer dormir. Je serais pas supposé vous raconter ça, le stigmate existe toujours et je parle pas de l'injection dans la fesse à toute les trois semaines, un anti-psychotique inefficace vu la vie que je menais. Maintenant je suis un bon gars "pas d'alcool pas de tabac"- Richard Desjardins. Me suis étendu un peu c'est pas comme au grill de l'hôtel ou il fallait se tenir drette même après avoir éclusé quinze frette. Je vous parle pas des vaporettes ces nouvelles patentes qui remplacent la cigarette, c'est bon pour les philosophes qui ont toujours quelque chose à la bouche... La nuit est jeune, les amoureux se cherchent des amants un peu vieux déçu de leurs amour cherchent une épaule pour raconter la détresse du solitaire. Les jolies filles sont toutes rentrées, elles n'étaient sortis que pour causer changer d'air entre copines demain on reprend le train-train quotidien. La nuit tout le monde se noie on nage dans les liqueurs toxiques personnes a pris le temps de porter son gilet de sauvetage. Dans les bars on sauve personne on coule au fond de l'abyme nocturne sans savoir ou on est, driftant... La nuit au bar du commerce combien de niaiseries pour une belle phrase trouvé parfois gravé dans les toilettes. J'ai plus envie de ces nuits de suïcidaire... Il pleut j'entend les voitures passés, combien de borderline, de schizo, la nuit est peuplé je le répète de ces gens qui cherchent un autre mais ne trouvent pas le bon. Ils s'égarent seul au bar attendant qu'on veuille bien leur adresser la parole  C'est pas tout le monde qui s'appelle Bukowsky et peut écrire les "Contes de la folie ordinaire". Je sais pas si c'est à cause de lui que j'attend le facteur, un grand littéraire. Faut savoir être seul plutôt qu'en mauvaise compagnie cette nuit je vous écris et je m'isole loin des bagarres de bars, de ces verres de bière renversés, de ces odeurs de sueur et de mauvais parfum dans les discothèques ou on va chiller.Parlant de chiller je vous laisse discuter de tout ça et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

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