samedi 26 juillet 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Votre humble serviteur a fait une sortie hier grâce à une lectrice de Terrebonne. Nous sommes allés au théâtre avec le duo de lecteurs dont mon lecteur col bleu.C'étais Cyrano de Bergerac une magnifique pièce toute en vers. J'aime bien la tirade du nez, je sais pas trop comment vous parlez de la pièce un début que j'ai trouvé brouillon mais des comédiens qui ont su monter la pièce a une hauteur vertigineuse. Merci pour cette production exceptionnelle. J'aimerais que ma lectrice de Cantley disent à ses fils que j'ai rencontré le vrai capitaine América et qu'elle leurs montre la photo. Dans Cyrano y'avait de quoi pensés aux Gascon qui sont toujours au devant de la bataille... C'est un samedi matin tranquille le goulag est désert ils sont tous partie en vacances, les bars sont fermés reste que le casino sec et les speakeasy pour les substances illicittes, non merci! Il est quatre heure quarante sept comme vous voyez je dors pas. Je suis dans le silence parfois ça me prend ça pour vous écrire... Je voudrais voir la mer -Michel Rivard une magnifique chanson qui me rappelle un court séjour dans les sable de Cape Cod. Je dirais à ma lectrice qui va se reconnaitre que je m'ennuis de ça et de sa présence... J'ai ouvert la radio, une femme qui roule ses r comme une ancienne soeur, on arrive pas a chasser l'éducation des religieuses,elle parle de déguster des fleurs comme on bois du vin. Faut se faire le palais avec des pétales. Je me vois brouter dans le jardin devant l'édifice. J'entend un scooter qui passe, je parlerai pas de la bande de Gaza c'est trop sordide et les avions qui tombent c'est très pénibles pour les endeuillés pendant ce temps là on débat sur les plaques de voitures de l'Alberta, Wild rose... C'est pas une belle phrase écris au son du Ô Canada!!! Maintenant à Rédio-Kénada c'est des français qui parlent de Seattle. Je ferme la radio me plogue sur mon sentis, j'aime l'air frais du matin, je trille les phrases dans mon cerveau pense aux deux monsieurs hier à la pièce de théâtre ils avaient la parole facile avec ma lectrice. Ce matin je tourne en rond, le jour se lève lentement. Je ne pense qu'a vous laisser là dessus mais je ne vous quitte pas tout de suite, le premier autobus passe, me souviens de ces nuits passées a envelopper des revues avec les copains. Mais je vous laisse maintenant en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

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