jeudi 3 juillet 2014

Au présent

Bonjout! Bonsoir! Encore debout à pas d'heure! En prenant le lait pour le café dans le frigo j'ai humé le parfum, d'autre dirait l'odeur, du fromage d'Oka.Moi et le fromage j'en ai de toute les sortes, cheddar, bleu, fondu,fumé, camembert, suisse, et plus. J'adore ça.Cette semaine les denturologistes semblent suivre ma trace deux appels d'entretien pour mes prothèses... Les prothèses dentaires un sujet tabou sauf pour la femme qui fait la publicité du fixatif. Vous voyez c'est comme toujours dans le goulag occidental des sujets banals et j'ai encore beaucoup de croûte pour faire des phrases qui ont du sens. Je pense à mon lecteur critique d'art m'excuse si je l'ai blessé dans mon blog précédent c'étais pas mon intention. "Les uns et les autres"un film de Lelouch que j'avais bien aimé. J'en suis un des autres.Non! Non! Non! Je me prend pas pour un autre juste moi c'est déjà assez. J'entend l'autobus terminus tout le monde descend c'est une phrase que je trouve très musicale. Oui, avant j'écrivais avec une espèce de musique en moi maintenant je la cherche note pas note, je compose. Je sort chaque phrase du tumulte, vous me direz ça fait pas une symphonie mais je me réclame plus du free jazz. Comment allez vous? Avec le rythme on peux pas tricher il est là et ça y est. Il est absent et on se plante. Je suis pas Verlaine je suis pas Rimbaud ni Baudelaire. Je met beaucoup d'air sous tout ces mots c'est pour vous plaire. Je bois beaucoup d'eau fait comme le maire de Toronto.Allô! Allô! Allô! Trois fois la terre, trois fois le go et la misère j'en parle pas trop, c'est de mon père anti-héros sans caractère je broie des os.Je voie la mer comme un idiot je fait des vers sans mystère sans repos. Bon! Ça veux dire ce que ça veux dire. J'ai toujours les grands poètes du dix neuvième siècle en tête et souvent je pense aux notre Giguère, Miron, Francoeur, Langevin, Vanier, Godin j'ai jamais entendu parler d'une terre aussi fertile en poète que la notre. On y arrive jamais au pays c'est peut être pour ça qu'on prend soin de nommer les choses, une nomanclature qui s'arrêteras pour mieux repartir une fois le pays fait. Moi là dedans au goulag occidental les jeunes filles trouvent que je suis une pute. Je mange dans toutes les auges. Elles ont raison je suis un pauvre cave mais je vais pas plus loin et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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