samedi 24 août 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! C'est samedi au goulag. J'ai mal au côté gauche je crois pas que ce sois cardiologique, c'est la douleur de l'angoisse.Un cycliste passe le goulag dors. Vous avez peut être vu le visage de la santé mentale de votre humble serviteur. Je sais pas trop quoi écrire ce matin.Le mois d'août tire à sa fin, je pense à ce réalisateur qui m'a promis des billets pour aller voir son film au FFM.Les salles de cinéma sont tout près du goulag...Je pense aux rédacteurs de publicitées, on vie dans un monde rédigé et parfois même on vous met des mots dans la bouche. Je vous ai pas écris, je crois, que depuis mon retour de Toronto j'adore l'avion, va falloir sortir du goulag plus souvent.Ce matin j'entend que le climatiseur, je plonge dans mon âme aux risques de m'y noyer, je prend de grandes respirations et je prie...Ai mangé mon petit déjeûner deux toasts au beurre d'arachide, étrangement la gorge me pique, je rote fait le tri dans ma tête de ce que je vais écrire. Rien de nouveau à l'horizon, je devrais m'indigner mais j'y arrive pas dehors il fait toujours noir, j'ai le dos qui pique me gratte avec un couteau. C'est difficile de parler des choses de l'âme vous le savez, de comment en faisant le bien on espère arriver à une rédemption. Parfois mon âme s'exile et j'ai mal comme si le coeur n'existais plus.C'est encore une belle nuit pour ceux qui ont couchés dehors certains vont quand même chercher un abri dans le métro c'est moins humide. J'ai un court déjà vu. Simiesque mais oui je me sent comme un singe savant en exil dans un zoo nordique. Derrière mes barreaux je vous commente la fin de la nuit au goulag. Ce matin je veux pas faire court me semble que j'en ai beaucoup à dire mais ça veux pas sortir. C'est pas de la grande littérature je crois que je l'ai déjà dis. Je fait avec ce que j'ai, une âme amochée et des mots effilochés dans un quartier d'une ville du nord. Je pense à cette femme qui écris dans le journal des itinérants et à son frère qui écris pour des humoristes deux mondes qui se rejoignent par les liens du sang.Une chanson "Natacha moi je reste attaché"...Quand on est pas drôle selon certain on est pas bon, quand je m'écoute j'ai pas envie de rire c'est pathétique. Je cherche la musique que mon clavier pourrait produire, j'entend pas, y'a qu'un rythme cassé brisé... Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Brisky Berny

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