lundi 4 mars 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Le printemps arrive... Ce soir mon goulag est pesant, je ne sais quoi vous écrire. Me suis servis une boisson à la mangue et pense à ce goulag intérieur cherche comment dire ce ligotage de l'âme... L'âme ficelée comme un rôti... Elle est pas muette cette âme pourtant l'expression ne guéris pas tout les maux, c'est comme si on étais deux le corps et l'âme, le corps qui s'acommode du goulag et l'âme qui souffre de l'exil... C'est confus pourtant la solitude n'est qu'une et ce discours qui n'en finis pas, c'est pas fort pour un simple d'esprit. La nuit je m'ennuis, la roue tourne, les jours passent je vieillis j'ai même loué un tuxedo pour un bal bientôt vas y avoir un pingouin dans le goulag. J'ai les larmes aux yeux, la musique me met dans cet étât de la folk des racines, "Song of Bernadette" mon pendant féminin, les chanteuses folk on un peu toutes le même timbre de voix. La vie passe et je suis rien devenus. J'ai manqué de couilles le goulag intérieur c'était mon adversaire je l'ai pas achevé j'ai juste retraité. Il neige encore et mes écrits c'est pas la bataille de Stalingrad, dans le goulag y'a déjà eu un échafaud pour le Sieur Delorimier, l'exil et l'échafaud c'est assez pour faire peur aux véléitaires indépendantistes... Mais non! C'est pas d'actualité... Une belle garnotte!!! Une belle garnotte su'a yeule voilà ce qu'il faut... Enfin c'est violent mais je suis pas le Ghandi du goulag... Je pense au petit père du peuple il en étais pas à une atrocité près. J'abandonne cette direction, la politique c'est jamais propre quoi qu'écrire aussi c'est jamais propre on rédige et on s'en lave les mains. Les mains noires, la mano negra voilà Sartre c'étais les mains sales je crois. Hé! Que je voudrais (conjugaison malencontreuse) donc être un vrai écrivain, ce seras pas faute d'avoir essayé. Bon! Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Milky Berny

1 commentaire: