dimanche 17 février 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je reste dans mon introspectif goulag. Il fait beau temps mais c'est quand même l'hiver. J'espère laisser une toute petite marque. Je place mon corps en position de récepteur prêt pour la muse qui j'espère seras là. Je suis, je crois, plus inspiré quand je me rend au café hors du goulag. Je confond souvent le goulag intérieur avec ma position géographique. Cette semaine si tout va bien je vais parler de mon savoir expérientiel, de la psychiatrie citoyenne qui selon certain est une mode, une mode oui mais qu'il est urgent d'adopter. J'ai acheté trois livres qui ont tous un rapport avec le Canada, l'autobiographie de Neil Young un canadien, Bob Morane au Québec dHenri Vernes et le rêve de Champlain. J'ai acheté ça inconsciemment sans voir que c'est lié... C'est dimanche le goulag est tranquille, y'a pas de circulation. Les cheminées fument, le ciel est bleu, c'est plus facile d'écrire en périphérie du goulag. Je fouille dans ce que je ressent pas grand chose à vrai dire. C'est niais ce que j'écris, y'a un type qui installe des céramiques rue Ontario... Ma tête est vide... Ai pris une douche et j'ai trouvé dans le bain un protège lame de rasoir quelqu'un l'a mis là... Ce sont mes angoisses y'a personne qui est entré chez moi depuis la semaine passé et j'ai récuré le bain jeudi... Je me suis mal rasé... L'hiver c'est le goulag en Russie et au Canada, mon âme est froide... Je pense à la Norvège d'Émile... Vais me faire un café... Encore cette semaine on commenteras pas l'actualité y'en a plein d'actualité dans le goulag la preuve c'est qu'actuellement je vous écris le matin mais quand même de ma nuit intérieure. J'y vois rien, rien que le temps qui passe, en solitaire... Pas de radio ce matin, juste la sécheresse de l'asphalte comme seule elle peut être l'hiver après que le sel soit disparus. Je me cure pas le nez j'essais d'enlever les peaux sèches, c'est pas très littéraire mais c'est de l'ordre de l'intime... Je ne peux écrire que seul, j'essais d"être à l'écoute de toutes les voix parfois le moteur d'un autobus prend le pas et je n'entend... Je me lève pour aussitôt me rasseoir, on dirais que la muse hésite qu'elle a peur du goulag cette entité violente qui amène la peur et le doute, Hé oui! C'est un combat entre les muses et le goulag qui ne veux pas se laisser faire préfèrerais rester muet et souffrir comme masoch... Y'a longtemps l'écriture étais vue comme de la masturbation intellectuelle ceux qui disaient ça connaissais pas je crois grand chose à l'intellect. Je termine là dessus. Vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Walky Berny

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