lundi 3 décembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! On pense très fort à une lectrice puéricultrice de l'Outaouais... Viens un moment ou il faut l'avouer on a plus rien a dire. Je vire la chose sur tout les bords et c'est le vide, c'est ce qui fait le plus peur le vide du goulag... Un vide apparenté à la mort bien que dans le goulag il ne passe plus de corbillard pour se souvenir y'a cette sculpture aux morts du SIDA dans le quartier adjacent. Je cherche comme toujours à vous décrire mon étât d'âme. Lundi matin pour plusieur c'est la rentrée au boulot, hier dans le goulag sur Ontario j'ai vus que les autorités ont construit des logements sociaux, des millions de dollars pour un univers glauque de commérages. Il est quatre heure treize c'est le temps de faire des mauvais coups tout le monde dort et ceux qui ne dorment pas repassent leurs vie en revue et se demandent comment ils sont arrivés au goulag. C'est un moment pénible, une phase maniaque, l'envie d'exprimer la difficulté, la vie difficile... Plus dure seras la chute, on peux pas passer sa vie au sommet à moins d'être un homme d'affaire aguéris. Je suis sous le béton et l'asphalte du goulag, le sang dont on a construit un quartier, la façon de concentré la pauvreté au même endroit, on y traine sa misère comme sa vermine et ses coquerelles. J'entend parler dehors, hier soir quelqu'un déguerpissais en catimini pour essayer de trouver je ne sais quoi loin du goulag... J'ai regardé par la fenêtre la police a arrêté une voiture... Alcool au volant?... Ça aussi c'est trainer sa misère... J'entend le type discuter il a un accent du maghreb et il est sobre. Je m'entend respirer, la chaise craque, la radio est fermée, je ferai pas de joke scatologique je suis déjà trop anal... Allez voir ce que ça veux dire?... Les épreuves parait que ça renforcis la foi, la police du goulag est toujours devant, ils claquent les portes des voitures, on a beau prier quand on a la police sur le dos... Le gars attend assis dans sa voiture, il en a une de la police derrière et une autre en face devant... J'ai peur d'écrire ça les policiers vont peut être me harceler à mon tour... Finalement il est partis, la police aussi. Hier je "réfléchissais" à ma façon d'être à comment je me reconnais pas dans monsieur et madame tout le monde, je sais c'est un défaut, la masse, le peuple a toujours raison en tout cas assez pour vous envoyer en prison. "Excellent citoyen! Pas trop trop mais pas loin" c'est le poète qui parle... Mon époque poétique elle est derrière moi, la poésie c'est pas la gloire et le papier c'est d'avoir voulu être et avoir essayé de changer. Tout a coup un délicieux parfum, ça m'indique que ce que j'écris c'est bien, vous en penserez ce vous voulez... J'ai pas envie de vous laisser là avec ça, ce seras bientôt le matin, je délirerai comme un pas fin... C'est pas fort... Je pense toujours à cet écrivain de l'école de l'humour, y'a rien a faire je suis pas drôle comment on dis? Chacun son métier et les vaches seront bien gardées? Vous voyez bien je suis incapable d'écrire une joke payante, je reviens toujours à la scatologie. Bein oui! Tout ça c'est de la marde dirait Lisa Leblanc. Je crois que je vais terminer là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Crooky Berny

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