jeudi 6 septembre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je sue encore dans le goulag. Le climatiseur fournis pas. Je viens de laver le plancher, je devrais écrire un traité intitulé de la poétique et des arts ménagers. Cet après midi j'ai pas mal et il semble que nous sommes très nombreux a écrire nos étâts d'âme sur la toile. Une femme passe sur le trottoir d'un pas militaire. Je regarde les nuages essais de pas trop les pelleter. Mes mains puaient je les ai lavé avec du Ivory. Mon lecteur de P-A-T va me trouver plus insignifiant que jamais. J'écris avec le désir de changer le monde, c'est puéril mais j'espère toujours. Vous me verrez pas employer le mot espoir souvent, je pense aux philosophes à Descartes. Je l'ai lu mais j'ai rien compris, être cartésien ça veux dire quoi? Je crois pas que je le suis. Je crois que je suis baroque et je tourne en rond reviens sur des thèmes fétiches Je me fait un café, treize heure trente sept, le football ce soir, je peux être le père des joueurs, ça me rappelle les jeux de ma jeunesse, les coups de poings sur la gueule aussi. J'aimais aussi faire de longues randonnées à vélo une entre autre avec Pierre le frère de mon lecteur designer. C'étais que du plaisir. J'écris un peu pour montrer aux gens que j'ai changé que je suis pas mort et que si j'ai fait du mal maintenant j'essais de m'améliorer. C'est pas facile de changer mais j'essais. Comme souvent je crois qu'il faut se changer soi avant de changer le monde. Le pardon c'est toujours d'actualité bien que parfois on en parle bien légèrement Je vous donnerai pas un cour de morale vous êtes assez grand pour comprendre. Je crois que j'ai des lecteurs qui s'en vont en Turquie, des friands d'aventures j'espère que leurs voyages ne seras pas comme celui du Midnight Express. Je crois que ce sont de bons voyageurs contrairement à moi pour qui tout doit être organisé. Dans le goulag on m'organise j'ai tout à portée de la main mais parfois au supermarché du goulag ils ont de ces airs bêtes au comptoir contrairement à la librairie ou la caissière est avenante. Ça me tue quand j'essais d'être poli et que j'ai même pas droit à un petit merci comme client. Y'en a certainement qui me lisent et qui pensent "ferme ta gueule!". Ce que j'écris c'est pas très grave et je crois que bientôt je vais faire mes courses dans la petite Italie à l'épicerie ils ont de délicieux biscuits. Avec le temps je deviens moins méchant, j'ai moins envie d'étaler mes tripes sur la table et oui! J'ai un petit jardin secret. Je crois pas que vous avez besoin de savoir certaines choses. Je reviens sur la morale, maudite morale! On peux jamais passés à côté, en faire abstraction, faut être confortable dans ce qu'on fait avec soi et avec les autres. Sur ce je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Thinkly Berny

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