lundi 30 juillet 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! First, pour les amateurs de contre-culture des années soixante dix, l'édition intégrale de Mainmise est disponible sur la toile, je crois que l'adresse c'est Mainmise.ca sinon y'a google. On y trouve entre autre un Denis Vanier, le poète, qui fait l'éloge du végétarisme, quand on sait comment il a finis c'est étonnant. On y trouve aussi des textes gay militant on étais loin de la gay pride et du village et pour en rajouter cette année ça se célèbre dans le vieux Montréal. Mainmise c'était aussi l'utopie chose que beaucoup de gens ont laissés tomber, j'allais écrire que les gays étaient le fer de lance de cette utopie mais je vais encore passés pour homophobe, à l'époque de Mainmise c'était extraordinaire d'être homosexuel, maintenant tout le monde est rentré dans le rang avec l'argent rose. Mainmise c'était aussi une révolution graphique et musicale, dans les premiers numéros on y parle de tout les groupes rock de ces années. Quarante ans plus tard à part le Velvet underground je dirais que c'étais la musique mainstream d'une révolution ratée. Ce qui m'amène à la question, le mur de Berlin est tombé, le rock est devenus une musique de mon'onk, qu'est-ce que je fait de mes cinquante six ans bientôt? Les étudiants semblent avoir repris le flambeau, j'essais de réfléchir en écrivant. Moi je crois que plusieurs se réclamaient de la contre-culture en faisant de bonnes études et ils ont pris le pouvoir pour reproduire les scandales de la C.E.C.O. de ces années là maintenant on a la commission Charbonneau plus ça change plus c'est pareil.... Mainmise c'était aussi le dérèglement des sens malgré les quelques faux-jetons qui parlaient de ça sans avoir consommer, mais oui la consommation de substances ça peux menés à la spiritualité malheureusement dans les réseaux underground la dope était souvent de mauvaise qualités, ça en a mené plusieurs aux suicides... Quoi dire de Pénélope l'éditrice elle était fidèles à ses idéaux même si parfois ils étaient partis... Les années Woodstock c'est toute une génération a qui on a fait croire des choses, une génération qui avait de bonnes valeurs mais qui s'est fait fourrer par les marchands du temple... Les petites pipes à hasch ça coutais cher et tout le déguisement de prolétaire a commencer par les bottes de travail et plus doucement le macramé, ça se payait... Quand même on vois encore des alcooliques toxicomanes tripper sur Janis Joplin, Jimi Hendrix, Brian Jones, Jim Morrisson, Kurt Cobain, Amy Winehouse la musique des désespérados. Je vous laisse là-dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Gently Berny

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