mercredi 25 juillet 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! C'est le beau milieu de la nuit. Je vous écris je ne sais quoi, hier c'étais feu d'artifice dans le goulag. Le quartier était envahis de mauvais amis qui sont venus voir. D'une fois à l'autre je me souviens pas de ce que je vous écris. Je m'excuse encore une fois à l'"aumônier" de pas l'avoir reconnus. Un conseiller spirituel voilà quelqu'un dont j'aurais eu besoin y'a longtemps au début de la maladie. Mes pensées en boucle sont toujours présentes le mieux que je peux faire avec ça c'est de réciter le Notre Père, après le long soliloque continus. Je me fracasse dans cette pensée artificielle même quand je lis ça se superpose à ma lecture présentement je lis le nazisme et la culture, la vraie folie, la folie du génocide. La politique assassine, l'imposition de l'art aryen, l'homme fort.. Cette semaine à la télé on a vu le prèsident français prendre la responsabilité du peuple pour la rafle du Vel d'Hiv. Ici au goulag c'est le calme ça nous arrive parfois d'être anti-sémite mais c'est en regardant ce que fait Israël. Au goulag ça nous prendrais un grand mur comme à Berlin, ça nous protègerais des quèteux du centre-ville. Je vous entend lire vous prenez ça au sérieux quand même pour le mur une petite visite à Ville Mont-Royal serait très instructive, ils ont même leurs vigiles. "Si la police s'appelle Alice" J.P.Ferland. C'est bête j'ai oublié le nom des spécialistes de la Thora, un rabbin voilà... C'est affreux avec les années j'ai de plus en plus de difficultés a nommer. Avec mon rabbin je reviens à mon lecteur conseiller spirituel qu'est-ce qu'on fait quand on ne peux nommer Dieu? Après la Shoa semble que Dieu est impensable... La schizophrénie on pourrais considérer ça comme une religion, un état mystique, le bon et le mauvais exacerbé et la peur aussi, la peur de soi et des autres, cette espèce de plongée dans son âme qui révèle le pire dans la psychose... Mais je m'égare je suis pas psy et les prêtres rajoutent au délire de ceux qui souffrent. Je ne peux rien y faire. Je vous écris de ma nuit apaisante quand je sais que tout le monde dors et que le calme survit dans la nuit noire. J'essais de faire de la poésie j'y arrive pas, je plonge au plus profond de mon être et ne trouve qu'une douleur à la poitrine, une angoisse fondamentale, fondamentale un mot utilisé à tort et à travers... Je m'en vais où avec ça, la souffrance nocturne, le mal aux lampadaires, vous voyez j'écris des niaiseries incapable de poésie. Je me console en pensant qu'il n'y a de bons poètes que mort. Voilà un sacrilège... Le temps passe la nuit s'en va... J'ai pris mon petit déjeuner. Je pense à rien parfois ce que j'ai dans la tête c'est très légumes, potager avec de mauvaises herbes qui envahissent ma matière grise. Je devrais me faire jésuite, la mauvaise foi ériger en système... et voilà Richelieu mais non c'est pas lui qui a fondé les jésuites c'est Ignace de Loyola, je pense à Richelieu pour le rouge du cardinal qui étais pourtant une éminence grise... Si j'étais vraiment de mon temps je vous parlerais du sida mais ça me tente pas, une maladie ça suffit sans compter mes différents problèmes de personnalités et pour la littérature on repasseras. Je suis qu'un autre malade blogueur "littéraire" la littérature elle est encore dans les vrais livres j'espère y arriver un jour. Je termine là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Nightly Berny

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