lundi 11 juin 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! D'après Rédio-Kénada le ministre n'a pas l'intention de capituler, on en a pour un bout de temsp avant qu'il y ais une paix sociale. À qui les beaux électrochocs. Un slammeur... Fait chaud cette nuit. Je me réveille lentement, un membre du groupe d'entraide a démissionné, je lui souhaite bonne chance. La formule un c'est terminée pour cette année... J'ai vu des manifestants nus à bicyclette, ils en ont pas parlé aux nouvelles c'étais trop indécent et farfelus pour la télé pourtant on se gêne pas de nous montrer les victimes de massacres en Syrie. Ce matin c'est calme, le climatiseur ronronne malheureusement j'ai pas l'enseigne lumineuse qui clignotte devant chez moi c'est pas l'hôtel du nord. Je me souviens plus dans quel film on illustrait les bas fonds avec une enseigne, ça clignotais "no vacancy" . Je pense à Humphrey Bogart dans un role de privé, l'air viril et la cigarette au bec. Je sais pas pourquoi je pense aux vers dans la charogne peut être à cause de Baudelaire. C'est l'odeur des cadavres que l'on a pas à la télé. J'écoute une émission sur les électro-chocs comment dire? De deux maux ont choisis le moindre. Je sais y'en a pas de guérison... L'esprit comment soigner l'esprit, le mal de vivre qu'aucune course de formule un ne soigne. Le goulag c'est déprimant qui c'est qui détermine si j'ai un comportement suspect. Ça me donne pas envie de sortir même par beaux temps. J'ai hate aux vacances. Je regarde les tarifs de train pour Vancouver c'est cher mais je vais plutôt aux U.S.A. Il est quatre heure dix sept on parle des élections législatives en France, la peur de la droite, les tapes sur la gueule que se donnent les grecs, trop de ouzo? Selon la française, l'éditorialiste du monde alerte Charest qui laisse pourrir la situation. Le pourissement c'est surement de là que viens la charogne comme le P.M. mais comme on dis on a les gouvernements que l'on mérite. La petite madame avec qui j'ai jasé en attendant l'autobus disait que les casseurs venaient d'ailleurs, des étrangers mais j'ai pas voulu la détromper. Je connais des québéquois capable des pires atrocités. La semaine commence, je cherche quoi écrire quand même je vous dirais que j'ai des brûlements d'estomac. Avec l'été le goulag va s'animer les feux d'artifices et la foule mais je sais pas comment les autorités vont faire avec les manifestants. C'étais trop tranquille ces festivals, toute bonne chose a une fin comme on dis... Si on prenait un break? Le jour se lève, la radio m'accompagne avec son bla-bla j'aime bien. Comme disait Brel "on se crois mèche on est que suïf". Je ferais rien sauter avec mes malaises intérieurs. Bon! Je vous laisse là dessus. Je vais me raser et prendre une douche. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Ghostly Berny

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