mardi 1 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ça vous arrive à vous d'égarer des choses et d'avoir toutes les misères du monde pour les retrouver? Moi quand ça m'arrive je me dis que quelqu'un est entré chez moi pour dissimuler la chose de la folie, de la folie pure et souvent ça ne prend que quelques secondes pour que je la retrouve. Bon! Laissons ça en plan et concentrons nous sur la dette grecque. Je sais pas ce que font les restaurateurs de la rue Duluth et Prince Arthur à Montréal pour renflouer leurs pays mais c'est pas beau. Là bas y'a de vrai rouge qui n'ont pas peur d'en découdre avec les autorités, ça aussi j'irai pas loin avec ça je connais plus la Parthenais que le Parthénon... Glissement de terrain, inondations, tempête de neige pendant qu'ici il fait beau temps, le monde est à l'envers on va dire nos prières... Ma folie du moment ce sont les bonbons à la menthe, j'adore ça j'en abuse ça me donne des... Laissons tomber je ferai pas de scatologie. Là je pense aux publicités des mines et au film de Richard Desjardins qui dis vrai? Comment faire la part des choses, cinq milliards à Sept-îles, moi on m'a toujours dis que le Québec donnais ses matières premières mais de toutes façon j'irai pas travailler dans les mines... J'ai regardé le film Laurentie un film grave et dense qui dépeint bien cette sorte de schizophrénie de colonisé qui fait souffrir les jeunes Québéquois. Un film d'images avec de longs plans évoquant une souffrance, un mal du pays tout intérieur, un film littéraire qui présente des extraits de poêmes de St-Denys-Garneau de Denis Vanier et d'autre poètes. Un film dur pas bavard qui fait du désespoir une certaine beauté. Notre maudit pays qui est pas encore là et je pense à mon lecteur de l'Outaouais qui travaille dans un ministère fédéral en anglais ils disent, if you cant beat them join them... Un pays pour qui un pays pourquoi, moi je veux pas me faire bosser par les faces que je vois à la télé et pas plus par Legault. Tout à coup je reviens au début je suis perdus parce que j'ai trop voulu cherché je n'ai pas laisser allé... Pardonnez moi pour les conjugaisons, un pays de fous une langue de fous, je pense à Gaston Miron et à sa madame typically. Vous voyez bien que je radote... M'a dire comme on dis "t'a pas voulu allés à l'école..." envoèye ti-cul tu connais pas de docteur sur le b.s.... Le pire dans tout ça c'est que de l'anglais j'en consomme. Je suis anglotrophage j'en mange et je les chie... Oups!!! Scatologie... Bon! J'arrête de me morfondre je suis un des sept milliars sur la planète ça me donne pas beaucoup de chances pour le gros lot, on va se contenter de regarder la poule à la télé et si vous saviez pas on a droit à une version québéquoise de The Price is Right, vive le capital!!! Michel Chartrand se revire dans sa tombe. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Pricy Berny

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire