samedi 16 octobre 2010

Here is something for you and me...

Bonjour! Bonsoir! Je me demande comment vous faites au travail avec tout ces gadgets, moi quand je suis chez moi j'arrête pas, cinq minutes devant l'ordi je me lève pour faire autre chose et soudain j'y retourne. Je regarde par la fenêtre de l'ordi même si tout prêt de moi y'a une vrai fenêtre qui donne dehors, aujourd'hui c'est pluvieux y'a des corneilles qui planent... Une vrai journée d'automne. Je pense à l'utilisation des synonymes, j'ai pas besoin c'est plutôt mes phrases qui sont les mêmes. Comment vous dire sans m'apitoyer? J'en suis là a essayer d'écrire dans la joie... C'est jaune et moi je suis vert pas vert hépatite mais vert inassouvis. Je croyais avoir gagné quelque chose mais je ne suis que finaliste. Avec la flotte qui tombe dehors je me sent comme une merde, le vent, la pluie, les feuilles et moi dans mon abri du centre-sud je délire lentement sur tout les post d'internet. J'attend je ne sais quoi, j'ai passé ma vie a attendre... C'est d'valeur je vous écris ceci dans la peur en écoutant les sirènes des urgences, bientôt encore une lecture de mon journal, comme un abrutis je livre mon intimité à tout venant. Je ne sais pourquoi je fait ça. Rainer Maria Rilke... Il avait du génie lui, moi j'ai qu'une toute petiite bosse et j'essais de la dégrossir en livrant des mots comme de la pizza. Je veux faire beau ça me réussis pas, vous n'avez rien a faire de Dieu mais moi j'en ai un besoin urgent, comment y croire tout le temps dans les forces de la nature rester vivant. À part dans la vie ou est-ce qu'on apprend a vivre? Mieux faire à tout les jours... Difficulté, difficulté humaine pourtant parfois y'a des moments de joie de plénitude qui comblent la peine de perdre des êtres chers... Le mois des morts qui arrive bientôt il vente a écorner les boeufs, ce soir votre humble serviteur reconnais sortir du bois plutôt que de l'université, les racines sont dans l'humble travail de bûcherons pas dans l'honorable littérature. Le quinze c'étais la nuit des sans-abri un univers de sous les ponts. Je me sent comme une mouche qui essais de survivre je cherche la chaleur et un endroit ou pondre mais on va me frapper avant avec la tapette, remarquez qu'ici l'usage est justifié, hé oui! Écrasé sous le poids des mots, y'a rien qui se tiens dans ce texte disont que c'est baroque. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Bernie Fly

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